Émission enregistrée en public le dimanche 10 octobre 2021 aux Rendez-vous de l’histoire de Blois
Etienne Anheim, directeur d’études à l’EHESS et des éditions de l’EHESSManon Pignot, MCF HDR à l’Université de PicardieCatherine Rideau-Kikuchi, MCF à l’Université de Versailles Saint-QuentinPourquoi étudier le travail de l’historienne et de l’historien ? (1:00)Les RDV de l’histoire de Blois, du travail ? (4:00)Le marché du travail de l’histoire savante et la raréfaction des postes (6:15)Les effets de cette concurrence sur le travail intellectuel (9:30)La conjoncture difficile depuis les années 2010 (12:30)Comment faire exister une communauté savante malgré les clivages entre titulaires et précaires (14:00), malgré les difficultés des enseignants du secondaire (17:30)La tension entre enseignement et recherche (20:00)La lourdeur des tâches administratives (24:00)Des compétences techniques spécifiques qu’il faut développer (31:00)La part de travail invisible des universitaires (32:30)Recensions, expertises (34:00)L’autonomie des universitaires, enjeu politique (35:30)Où en est le rapport hommes / femmes dans la profession historienne ? (39:00)Les soutiens masculins aux combats féministes, et les façons de les prolonger (51:00)Les joies que procure le métier (55:00)Le paradoxe des métiers à passion, épanouissants et parfois aliénants (59:20)(questions du public)D’autres tâches : écriture de manuels, traduction… (1:01:00)Les déséquilibres géographiques entre Paris et province (1:07:50)Les difficultés de collègues du secondaire pour faire une thèse (1:11:00)Ce que la pandémie a changé en termes d’accès (numérique) à des séminaires et des colloques (1:16:00)Peut-on se lasser de son sujet de recherche (et en changer) ? (1:20:00)