La plupart de nos contemporains occidentaux rejettent toute forme de théisme, voire la religion dans son ensemble, au motif qu'il ne s'agit que d'une "béquille", autrement dit un besoin n'existant qu'en des personnes mal affermies.
Pour Marx, par exemple, la religion n'est que l'opium du peuple, une sorte de drogue qui enivre et qui amène à oublier la réalité.
Le christianisme est-il la religion des faibles ? Est-il légitime de dire qu'il ne s'agit que d'une béquille ?
Guillaume Bignon, docteur en philosophie et spécialiste de l'apologétique, répond à cette objection courante.
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