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Or
Bijan fondateur l'atelier d'architecture Ostraka incarne, dans le Luberon, une posture d’artisan architecte. Dans cette conversation je discute avec lui et son associé Jérémy Lasne.
Ensemble ils travaillent en tant qu’architectes selon une posture à laquelle il semble apaisant de se reconnecter aujourd’hui pour redécouvrir à quel point l’acte d’architecture, quand il est aligné et vernaculaire, est une solution aux contraintes climatiques.
Grace à une posture ouverte, soucieuse de prendre soin, de faire « avec » et « pour » le territoire, nous avons compris comment bâtir sans clim et quasiment sans chauffage.
Écouter, faire de la cueillette de sensations, lire le déjà-là, avec de vouloir penser la forme..Utiliser des matériaux bio et géo sourcés locaux et le plus possible renouvellables à l’échelle des saisons malgré les contraintes.
Cet échange semble nous avoir laissé l’impression commune que, paradoxalement, accepter les contraintes qui sont les nôtres aujourd’hui permettent à Bijan et Jérémy d’être libres !
En guise de bibliographie, vous trouverez également un reportage France 3 qui mets d'autres images et témoignages sur nos échanges :https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/vaucluse/prioriterre-mairie-de-viens-bergerie-de-berdine-deux-exemples-d-ecoconstructions-bioclimatiques-participatives-2813132.html
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Bijan fondateur l'atelier d'architecture Ostraka incarne, dans le Luberon, une posture d’artisan architecte. Dans cette conversation je discute avec lui et son associé Jérémy Lasne.
Ensemble ils travaillent en tant qu’architectes selon une posture à laquelle il semble apaisant de se reconnecter aujourd’hui pour redécouvrir à quel point l’acte d’architecture, quand il est aligné et vernaculaire, est une solution aux contraintes climatiques.
Grace à une posture ouverte, soucieuse de prendre soin, de faire « avec » et « pour » le territoire, nous avons compris comment bâtir sans clim et quasiment sans chauffage.
Écouter, faire de la cueillette de sensations, lire le déjà-là, avec de vouloir penser la forme..Utiliser des matériaux bio et géo sourcés locaux et le plus possible renouvellables à l’échelle des saisons malgré les contraintes.
Cet échange semble nous avoir laissé l’impression commune que, paradoxalement, accepter les contraintes qui sont les nôtres aujourd’hui permettent à Bijan et Jérémy d’être libres !
En guise de bibliographie, vous trouverez également un reportage France 3 qui mets d'autres images et témoignages sur nos échanges :https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/vaucluse/prioriterre-mairie-de-viens-bergerie-de-berdine-deux-exemples-d-ecoconstructions-bioclimatiques-participatives-2813132.html
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