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Alors que les parlementaires continuent de plancher sur le projet de budget 2026 en France, les associations alertent sur le manque de subventions publiques, en particulier les associations féministes. Entre 2024 et 2025, leur financement s'est vu amputer de près de 32 millions d'euros. Mais sans budget, les missions de ces organisations sont menacées.
Quelque 6 258 femmes et enfants n'ont pas pu être accompagnés en 2025. Résultat d'une baisse considérable du budget alloué par l'État aux associations féministes.
Les militants passent une partie de leur temps et de leur énergie à rechercher d'autres financements, alors que depuis #MeToo et la libération de la parole des victimes qui s'en est suivie, l'activité des associations féministes a nettement augmenté, sans que les fonds suivent.
À lire aussiEnquêtes, "devoir conjugal", inceste… les pistes pour lutter contre les violences sexuelles
Chez le Collectif féministe contre le viol, les appels à la plateforme d'écoute ont ainsi bondi de 25 % entre 2018 et 2019.
Parallèlement, Tiffany Coisnard de l'association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT), explique que les modalités d'attribution des subventions ont été durcies. Dorénavant, ces aides publiques sont données pour un an, au lieu de trois, hypothéquant la capacité de l'association à embaucher ou à accompagner les victimes dans de longues procédures judiciaires et administratives.
By FRANCE 24Alors que les parlementaires continuent de plancher sur le projet de budget 2026 en France, les associations alertent sur le manque de subventions publiques, en particulier les associations féministes. Entre 2024 et 2025, leur financement s'est vu amputer de près de 32 millions d'euros. Mais sans budget, les missions de ces organisations sont menacées.
Quelque 6 258 femmes et enfants n'ont pas pu être accompagnés en 2025. Résultat d'une baisse considérable du budget alloué par l'État aux associations féministes.
Les militants passent une partie de leur temps et de leur énergie à rechercher d'autres financements, alors que depuis #MeToo et la libération de la parole des victimes qui s'en est suivie, l'activité des associations féministes a nettement augmenté, sans que les fonds suivent.
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Chez le Collectif féministe contre le viol, les appels à la plateforme d'écoute ont ainsi bondi de 25 % entre 2018 et 2019.
Parallèlement, Tiffany Coisnard de l'association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT), explique que les modalités d'attribution des subventions ont été durcies. Dorénavant, ces aides publiques sont données pour un an, au lieu de trois, hypothéquant la capacité de l'association à embaucher ou à accompagner les victimes dans de longues procédures judiciaires et administratives.

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