Le commerce en ligne a pris beaucoup d’ampleur durant les cinq dernières années. Une pratique dont l’impact écologique est en nette croissance avec des géants comme Amazon.
Les consommateurs n’hésitent pas à se faire livrer à la maison des grandeurs différentes d’un même vêtement afin de les essayer et de trouver la taille la plus appropriée.
Le problème est que les articles rejetés prennent jusqu’à 50 % des cas le chemin de l'enfouissement ou de l’incinérateur. Une solution moins chère que de tenter de redonner à ces produits une deuxième vie.
Marc Tassé enseigne à l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa. Il explique que ce gaspillage inutile pousse certaines entreprises à revoir lentement leur façon de faire.
Marc Tassé répond aux questions de Maryse Jobin. Crédit photo : École de gestion Telfer.FR_Entrevue_1-20191218-WIF10
« On a vu dans les derniers mois qu'Amazon a commencé à offrir en Europe et en Amérique du Nord, lorsque certains biens sont retournés, surtout les électroniques, de les remettre en vente dans une boîte non identifiée au prix de 200 $, alors que leur valeur est de 550 $. » - Marc Tassé, enseignant à l'École Telfer
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