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Or
Rencontre à l’occasion de la parution de Pleurons-les. Les Juifs de Paris et la commémoration de la Shoah (1944-1967), de Simon Perego, préface de Claire Andrieu, Champ Vallon, 2020.
Avec la participation de l’auteur, Laura Hobson Faure, professeur en histoire contemporaine, chaire de l’histoire des mondes juifs contemporains, université Paris 1, et Constance Pâris de Bollardière, historienne et responsable d’archives, The American University of Paris.
Animée par Sébastien Ledoux, chercheur en histoire contemporaine à l’Université Paris 1/Centre d’histoire sociale des mondes contemporains.
Le monde juif, dans sa relation avec la Shoah, ne s’est pas muré dans le silence jusqu’au procès Eichmann (1961) ou la guerre des Six Jours (1967). Si la transmission interfamiliale a été difficile, un large éventail d’initiatives a été mené dès l’automne 1944 par différents groupes sociopolitiques pour commémorer la mémoire des victimes du génocide. Malgré l’appel à l’unité, ces commémorations pionnières se définissent avant tout par leur fragmentation et leur conflictualité dans un contexte marqué par la guerre froide.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rencontre à l’occasion de la parution de Pleurons-les. Les Juifs de Paris et la commémoration de la Shoah (1944-1967), de Simon Perego, préface de Claire Andrieu, Champ Vallon, 2020.
Avec la participation de l’auteur, Laura Hobson Faure, professeur en histoire contemporaine, chaire de l’histoire des mondes juifs contemporains, université Paris 1, et Constance Pâris de Bollardière, historienne et responsable d’archives, The American University of Paris.
Animée par Sébastien Ledoux, chercheur en histoire contemporaine à l’Université Paris 1/Centre d’histoire sociale des mondes contemporains.
Le monde juif, dans sa relation avec la Shoah, ne s’est pas muré dans le silence jusqu’au procès Eichmann (1961) ou la guerre des Six Jours (1967). Si la transmission interfamiliale a été difficile, un large éventail d’initiatives a été mené dès l’automne 1944 par différents groupes sociopolitiques pour commémorer la mémoire des victimes du génocide. Malgré l’appel à l’unité, ces commémorations pionnières se définissent avant tout par leur fragmentation et leur conflictualité dans un contexte marqué par la guerre froide.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.