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Bonjour et bienvenue dans ce 4e épisode d'aphrodisart, un voyage envoûtant qui vous révèlera les passions et les secrets de l’histoire de l’art.
Instagram et Tiktok : Aphrodisart_
VOCABULAIRES :
LES TEXTES :
« Dès l’âge de sept ans, j’ai été arrhèphore, (= porteuse d’objets secrets), puis alètride (=pileuse de farine sacrée). À dix ans, en l’honneur de notre Patronne (= Artémis), laissant glisser à terre ma crocote (= robe de safran), j’ai été ourse (arktos) aux Brauronies. Enfin, devenue belle jeune fille, il m’est arrivé d’être canéphore (= porteuse de corbeille), parée d’un chapelet de figues sèches. Ne dois-je pas à ma cité, depuis longtemps, de bons conseils ? »
BIBLIOGRAPHIE :
- N. BERNARD, Femmes et société dans la Grèce classique, Paris, 2003.
- H. GUIRAUD, « La vie quotidienne des femmes à Athènes : à propos de vases attiques du ve s. », Pallas 32 (1985), p. 41-57 (accessible en ligne sur www.persee.fr">www.persee.fr)
- Fr. LISSARAGUE, « Femmes au figuré », dans P. SCHMITT PANTEL (dir.), Histoire des femmes en Occident, t. 1: L’Antiquité, Paris, 1991, p. 203-301.
N. LORAUX (éd.), La Grèce au féminin, trad. fr., Paris, Les Belles Lettres, 2003. - P. BRULE, La Fille d’Athènes. La religion des filles à Athènes à l’époque classique : cultes, mythes et société, Paris, 1987.
- J.-M. ROUBINEAU, Les cités grecques (VIe -IIe siècle av. J.-C.) : essai d’histoire sociale, Paris, PUF, 2015, chap. 7, p. 207- 233 : « Les enjeux du mariage ».
- V. SEBILLOTTE CUCHET, « Ces citoyennes qui reconfigurent le politique. Trente ans de travaux sur les femmes et la citoyenneté dans l’Antiquité classique », Clio Femmes, Genre, Histoire, 43 (2016), p. 185-215.
- Mes cours à Sorbonne Université “Littérature et Archéologie grecque” de P.HAMON
Crédits musiques :
Bonjour et bienvenue dans ce 4e épisode d'aphrodisart, un voyage envoûtant qui vous révèlera les passions et les secrets de l’histoire de l’art.
Instagram et Tiktok : Aphrodisart_
VOCABULAIRES :
LES TEXTES :
« Dès l’âge de sept ans, j’ai été arrhèphore, (= porteuse d’objets secrets), puis alètride (=pileuse de farine sacrée). À dix ans, en l’honneur de notre Patronne (= Artémis), laissant glisser à terre ma crocote (= robe de safran), j’ai été ourse (arktos) aux Brauronies. Enfin, devenue belle jeune fille, il m’est arrivé d’être canéphore (= porteuse de corbeille), parée d’un chapelet de figues sèches. Ne dois-je pas à ma cité, depuis longtemps, de bons conseils ? »
BIBLIOGRAPHIE :
- N. BERNARD, Femmes et société dans la Grèce classique, Paris, 2003.
- H. GUIRAUD, « La vie quotidienne des femmes à Athènes : à propos de vases attiques du ve s. », Pallas 32 (1985), p. 41-57 (accessible en ligne sur www.persee.fr">www.persee.fr)
- Fr. LISSARAGUE, « Femmes au figuré », dans P. SCHMITT PANTEL (dir.), Histoire des femmes en Occident, t. 1: L’Antiquité, Paris, 1991, p. 203-301.
N. LORAUX (éd.), La Grèce au féminin, trad. fr., Paris, Les Belles Lettres, 2003. - P. BRULE, La Fille d’Athènes. La religion des filles à Athènes à l’époque classique : cultes, mythes et société, Paris, 1987.
- J.-M. ROUBINEAU, Les cités grecques (VIe -IIe siècle av. J.-C.) : essai d’histoire sociale, Paris, PUF, 2015, chap. 7, p. 207- 233 : « Les enjeux du mariage ».
- V. SEBILLOTTE CUCHET, « Ces citoyennes qui reconfigurent le politique. Trente ans de travaux sur les femmes et la citoyenneté dans l’Antiquité classique », Clio Femmes, Genre, Histoire, 43 (2016), p. 185-215.
- Mes cours à Sorbonne Université “Littérature et Archéologie grecque” de P.HAMON
Crédits musiques :