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Vulgarisation scientifique, médiation scientifique, interface entre science et société, journalisme scientifique, éducation à la science et ses enjeux, science citoyenne, science participative, science pour les décideurs, vacances scientifiques, tiers lieux scientifiques… réseaux sociaux scientifiques… et n’oublions pas les sites qui décryptent les fakenews… Y a-t-il des différences entre tous ces concepts ?
En réalité, dans un monde où la connaissance scientifique imprègne notre quotidien, du moindre objet à la compréhension de ce qui nous entoure, la science est forcément un objet de culture des citoyens, un patrimoine plus ou moins développé, et surement un objet de citoyenneté efficace dans une démocratie.
Mais le mot vulgarisation est surement parfois perçu comme un peu péjoratif, et pour certains scientifiques considéré comme une forme de « dévalorisation » de leur pensée et mode de travail. D’ailleurs en anglais on traduit ça plutôt comme popularisation scientifique ou information scientifique populaire…
Pourtant quand Hubert Reeves parle de l’astrophysique, il fait rêver ceux que l’univers passionne…
Ou quand le journal Epsiloon nous dit qu’il s’adresse aux passionnés de science comme à tous les curieux, sur tous les sujets scientifiques, il s’agit bien de vulgariser, rendre accessible, ce qui fait le quotidien et l’actualité des scientifiques…
Il y a du plaisir et de la fascination à comprendre, à se voir expliquer les connaissances sur les mécanismes en cours dans la nature, dans l’espace, dans la matière, dans nos corps et cerveaux…
By Radio Cause CommuneVulgarisation scientifique, médiation scientifique, interface entre science et société, journalisme scientifique, éducation à la science et ses enjeux, science citoyenne, science participative, science pour les décideurs, vacances scientifiques, tiers lieux scientifiques… réseaux sociaux scientifiques… et n’oublions pas les sites qui décryptent les fakenews… Y a-t-il des différences entre tous ces concepts ?
En réalité, dans un monde où la connaissance scientifique imprègne notre quotidien, du moindre objet à la compréhension de ce qui nous entoure, la science est forcément un objet de culture des citoyens, un patrimoine plus ou moins développé, et surement un objet de citoyenneté efficace dans une démocratie.
Mais le mot vulgarisation est surement parfois perçu comme un peu péjoratif, et pour certains scientifiques considéré comme une forme de « dévalorisation » de leur pensée et mode de travail. D’ailleurs en anglais on traduit ça plutôt comme popularisation scientifique ou information scientifique populaire…
Pourtant quand Hubert Reeves parle de l’astrophysique, il fait rêver ceux que l’univers passionne…
Ou quand le journal Epsiloon nous dit qu’il s’adresse aux passionnés de science comme à tous les curieux, sur tous les sujets scientifiques, il s’agit bien de vulgariser, rendre accessible, ce qui fait le quotidien et l’actualité des scientifiques…
Il y a du plaisir et de la fascination à comprendre, à se voir expliquer les connaissances sur les mécanismes en cours dans la nature, dans l’espace, dans la matière, dans nos corps et cerveaux…