[TW : dépressions, burn-out, bore-out, maladies et violences diverses. Si vous traversez actuellement une période de vie difficile, n'hésitez pas à consulter votre médecin traitant.e, un.e psychologue diplômé.e d'état ou un.e psychiatre]

La fibromyalgie est une maladie chronique encore mal comprise. Elle provoque des douleurs diffuses dans tout le corps, une fatigue intense et des troubles du sommeil, de la concentration ou de l’humeur.

Les symptômes les plus courants :

- Des douleurs musculaires ou articulaires, parfois changeantes

- Une fatigue extrême, même après une longue nuit

- Des troubles de la mémoire ou de la concentration

- Une hypersensibilité au bruit, à la lumière, au toucher…

- Un sommeil non réparateur

Les examens médicaux sont souvent normaux, ce qui est frustrant car la douleur et l’épuisement sont bien présents. C’est une souffrance réelle, physique, mentale, invisible et souvent incomprise. Comme pour le burn out, ce n’est pas une question de volonté. Ce n’est pas rare, ce n’est pas honteux, et ça mérite d’être entendu, reconnu, et accompagné.

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Le burn out, c’est un épuisement physique, mental et émotionnel causé par une pression constante, souvent liée à des responsabilités qu’on n’arrive plus à gérer. On donne trop, pendant trop longtemps, sans récupérer.

Les signes les plus courants :

- On se sent épuisé.e même après une nuit de sommeil

- On perd confiance en soi ou en ses compétences

- On a du mal à se concentrer

- On devient irritable, à fleur de peau

- On n’arrive plus à ressentir de joie, même pour des choses qu’on aimait avant

Le burn out maternel, c’est le même type d’épuisement, mais lié au rôle de parent et particulièrement au rôle de mère. Cela arrive quand on doit tout assumer en permanence : les enfants, la charge mentale, la pression d’être un·e “super parent·e”... Le tout, souvent en travaillant à côté et sans bénéficier d’un réel soutien.

Ce n’est ni rare, ni honteux. Le burn out maternel, ça ne veut pas dire qu’on n’aime pas ses enfants. Ça veut dire qu’on s’oublie trop souvent.

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Les pensées suic*daires, ce sont des idées ou des envies de mettre fin à ses jours. Elles peuvent surgir quand la douleur mentale devient trop forte, qu’on se sent dépassé.e, seul.e ou dans une situation sans issue. Ce n’est ni un signe de faiblesse ni un caprice. Ces pensées traduisent souvent un mal-être profond et une grande souffrance. Parfois, ce mal-être peut aussi prendre la forme de pensées agressives ou d’idées de faire du mal à quelqu’un d’autre. Ces pensées sont souvent liées à la colère, à la frustration ou à un sentiment d’injustice. Ces pensées sont un appel à prendre soin de soi, à chercher du soutien et surtout à ne pas s’isoler. En parler à quelqu’un de confiance, un proche ou un professionnel, peut vraiment aider à sortir de ce cercle.

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Si vous hésitez, n'hésitez plus :

- Protection Maternelle Infantile (PMI) : https://lannuaire.service-public.fr/navigation/pmi

- Complément du Mode de Garde (CMG) : https://www.caf.fr/allocataires/actualites/actualites-nationales/reforme-du-cmg-une-aide-plus-adaptee-pour-les-familles

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