L’invité : Vincent Guigueno, historien, conservateur du patrimoine, et figurant dans le film
Le film : Dunkerque (Christopher Nolan, 2017)
Une expérience de figurant dans Dunkerque (1’20)Un film à réinscrire dans une série de films représentant la Seconde Guerre mondiale (5’)Une œuvre qui ne se veut pas un film de guerre traditionnel, d’une construction originale et déroutante (7’30)Le travail du spectateur pour reconstituer la trame du film, et l’expérience singulière du visionnage (12’30)Un film non « symétrique » dont les Allemands sont absents (14’40)Qu’est-ce qu’un film de guerre « traditionnel » ? ne pas faire à Nolan le procès du film qu’il n’a pas voulu faire (17’30)Le discours de Churchill mis en scène à la fin du film (22’30)Les sources d’inspiration de Nolan, en lien avec une mémoire familiale et britannique (24’)Un film sans conseillers historiques, mais appuyé sur des témoignages (28’)La place accordée aux Français dans le film, qui a beaucoup fait discuter (30’20)Des anachronismes assumés par Nolan (35’)Dans un film non réaliste, des effets de vérité (37’)Des échos de la Première Guerre mondiale dans la Seconde (42’)Un grand film sur la claustrophobie de la guerre (45’)Conseils de lecture, et dimensions mémorielles locales (47’40)Christopher Nolan, Dunkirk, Londres, Faber & Faber, 2017Josuah Levine, Forgotten voices of DunkirkPenny Summerfield, « Dunkirk and the popular memory of Britain at war, 1940-1958 », Journal of Contemporary History, vol. 45, n° 4, octobre 2010, p. 788-811.