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Or


Je suis donc revenue ce matin au rendez-vous et ai senti une fois de plus quelque chose de très fort.D’abord, il m’a été proposé de transmuter ma croyance bien incrustée que je ne suis pas compétente pour ce que j’entreprends. Cela, je le sais, est la déclinaison d’un élément de mon karma qui stipule que je ne suis pas à la hauteur de l’engagement pris par mon âme dans cette incarnation. Je sais aussi que si j’ai mis cela dans mon karma, c’est justement pour construire de la confiance en mon âme à chaque chose que j’entreprends.
Mais là, ça suffit, car la croyance selon laquelle je ne suis pas à la hauteur signifie que je m’identifie à ma condition humaine et que par conséquent, j’omets de me reconnaître dans ma divinité. Le jeu a assez duré, l’ère de l’homme/femme-Esprit est en place.
Au passage j’ai bénéficié d’un éclairage sur l’opération des amygdales que j’ai subie à l’âge de 4 ans et cela m’a fait beaucoup de bien.
La guidance m’a fait ensuite contacter Jésus et sa funeste soirée du dernier repas, sa soirée au jardin des oliviers, jardin du Gethsémani.
Avec lui il a été question de sang et plus particulièrement de « sang bleu » réservé dans l’histoire aux aristocrates.
Désormais, la couleur éthérique de notre sang est aussi le bleu puisque notre noblesse est avérée.
J’ai aussi rencontré La Mère (compagne de Sri Aurobindo) qui m’a transmis le fruit de ses recherches sur la nouvelle espèce humaine, l’espèce de l’homme/femme-Esprit.
Mon corps a été bousculé, brassé. Les intestins ont fait leur œuvre d’alchimie pour que le corps physique soit en adéquation avec la conscience que JE SUIS installe patiemment, chaque jour de cette année.
En écrivant, assise au bureau, je vois la lune presque ronde qui sera pleine demain, et je pense à Jésus, mon frère, mon ami, mon compagnon de route. Je ferai tout ce qui est en mes possibilités pour que son expérience d’il y a 2000 ans ne soit pas vaine, pour poursuivre l’œuvre christique qu’il a initiée.
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By FranckJe suis donc revenue ce matin au rendez-vous et ai senti une fois de plus quelque chose de très fort.D’abord, il m’a été proposé de transmuter ma croyance bien incrustée que je ne suis pas compétente pour ce que j’entreprends. Cela, je le sais, est la déclinaison d’un élément de mon karma qui stipule que je ne suis pas à la hauteur de l’engagement pris par mon âme dans cette incarnation. Je sais aussi que si j’ai mis cela dans mon karma, c’est justement pour construire de la confiance en mon âme à chaque chose que j’entreprends.
Mais là, ça suffit, car la croyance selon laquelle je ne suis pas à la hauteur signifie que je m’identifie à ma condition humaine et que par conséquent, j’omets de me reconnaître dans ma divinité. Le jeu a assez duré, l’ère de l’homme/femme-Esprit est en place.
Au passage j’ai bénéficié d’un éclairage sur l’opération des amygdales que j’ai subie à l’âge de 4 ans et cela m’a fait beaucoup de bien.
La guidance m’a fait ensuite contacter Jésus et sa funeste soirée du dernier repas, sa soirée au jardin des oliviers, jardin du Gethsémani.
Avec lui il a été question de sang et plus particulièrement de « sang bleu » réservé dans l’histoire aux aristocrates.
Désormais, la couleur éthérique de notre sang est aussi le bleu puisque notre noblesse est avérée.
J’ai aussi rencontré La Mère (compagne de Sri Aurobindo) qui m’a transmis le fruit de ses recherches sur la nouvelle espèce humaine, l’espèce de l’homme/femme-Esprit.
Mon corps a été bousculé, brassé. Les intestins ont fait leur œuvre d’alchimie pour que le corps physique soit en adéquation avec la conscience que JE SUIS installe patiemment, chaque jour de cette année.
En écrivant, assise au bureau, je vois la lune presque ronde qui sera pleine demain, et je pense à Jésus, mon frère, mon ami, mon compagnon de route. Je ferai tout ce qui est en mes possibilités pour que son expérience d’il y a 2000 ans ne soit pas vaine, pour poursuivre l’œuvre christique qu’il a initiée.
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