À 25 ans, on a souvent l’impression d’être à mi-chemin entre deux vies : plus vraiment ado, pas encore adulte accompli. On se met une pression invisible, comme si la deadline c’était 30 ans. Trouver sa voie, réussir pro, aimer “sérieusement”, cocher les cases… et si tout ça n’avait pas besoin d’être si pressé ?

Dans ce monologue à cœur ouvert, je parle de ce flou qu’on vit à 25 ans.
Le poids des attentes, la sensation de stagnation, l’impression d’être à la fois trop jeune pour certaines choses… et trop vieux pour d’autres.
Mais aussi de la beauté de ce moment suspendu, où rien n’est encore figé, et tout reste possible.

💭 Spoiler : 25 ans, c’est encore jeune. Et c’est très bien comme ça.