Le plus souvent dans notre société dès le plus jeune âge on valorise ceux qui donnent les bonnes réponses et ont les bonnes notes. On les porte parfois en modèle. Et on fond, on voudrait tous être celui qui brille quand on lève la main et qu'on nous donne la parole.

Etre celui qui, en réunion, donne la bonne voir la meilleure idée de tout les temps dès qu'il prend part à la discussion.

Sauf que c'est pas possible.

Pas possible parce que le plus souvent on est du côté des questions plutôt que des réponses. Et que pour avancer, pour comprendre, pour se comprendre, il faut poser des questions, il faut savoir dire qu'on ne sait pas où qu'on s'est trompé.

Et pourtant, plutôt que partager leurs questions ou ce qui ne vas pas, les collaborateurs préfèrent, ce qu'appel Emy Edmonson, "gérer l'impression". C’est-à-dire, être sûr que l'impression qu'aurons les autres sur moi ne soit pas négative.

La seule solution pour surpasser cela ? 

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