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Share #84 – Émission spéciale “relaxe” : syndicalisme, justice et radio libre
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#84 – Émission spéciale “relaxe” : syndicalisme, justice et radio libre
Avec :
– Siham Touazi, infirmière, ex-employée de l’Ehpad du Château de Neuville
– Emmanuel Dumoulin, syndicaliste CGT, ingénieur licencié pour raisons syndicales
Émission co-animée par Isabelle Carrère (Un coin quelque part) et Gilles Bresard (depuis l’autre côté de la vitre)
Le 4 avril 2025, le tribunal correctionnel de Pontoise a prononcé la relaxe totale de Siham Touazi, poursuivie en diffamation par la famille Liogier, ses anciens employeurs à l’EHPAD du Château de Neuville.
Son “délit” ? Avoir pris la parole à deux reprises en 2022 dans l’émission Liberté sur paroles pour dénoncer :
Poursuivie conjointement, Eugénie Barbezat, journaliste et productrice de l’émission, a elle aussi été relaxée.
Mais la justice ne s’est pas arrêtée là :
Le ministère public a reconnu le caractère abusif de la procédure. Les anciens employeurs ont été condamnés à rembourser les frais de justice et verser des dommages et intérêts aux deux poursuivies.
Ce que cette affaire révèle :
Une victoire pour Siham Touazi et Eugénie Barbezat, mais aussi pour toutes celles et ceux qui refusent l’intimidation patronale et la criminalisation de la parole syndicale.
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By Eugénie BarbezatAvec :
– Siham Touazi, infirmière, ex-employée de l’Ehpad du Château de Neuville
– Emmanuel Dumoulin, syndicaliste CGT, ingénieur licencié pour raisons syndicales
Émission co-animée par Isabelle Carrère (Un coin quelque part) et Gilles Bresard (depuis l’autre côté de la vitre)
Le 4 avril 2025, le tribunal correctionnel de Pontoise a prononcé la relaxe totale de Siham Touazi, poursuivie en diffamation par la famille Liogier, ses anciens employeurs à l’EHPAD du Château de Neuville.
Son “délit” ? Avoir pris la parole à deux reprises en 2022 dans l’émission Liberté sur paroles pour dénoncer :
Poursuivie conjointement, Eugénie Barbezat, journaliste et productrice de l’émission, a elle aussi été relaxée.
Mais la justice ne s’est pas arrêtée là :
Le ministère public a reconnu le caractère abusif de la procédure. Les anciens employeurs ont été condamnés à rembourser les frais de justice et verser des dommages et intérêts aux deux poursuivies.
Ce que cette affaire révèle :
Une victoire pour Siham Touazi et Eugénie Barbezat, mais aussi pour toutes celles et ceux qui refusent l’intimidation patronale et la criminalisation de la parole syndicale.