durée : 00:28:05 - par : Jean Lebrun - Jean-Louis Bourlanges, en dépit de sa jeunesse, disposait d’un privilège : il pouvait pénétrer dans certains lieux de pouvoir, très dévalués, il est vrai, à l’époque. Au ministère de l’Intérieur, au risque de passer pour un traître. Ou à l’Assemblée nationale, où il siège maintenant. C’est qu’il était gaulliste !