On parle du décalage permanent entre l’expérience et l’analyse, entre vivre et essayer de donner un sens à ce qu’on vit. On parle aussi de nos rêves, de cette manière dont ils finissent parfois par nous posséder. Parce qu’un rêve n’est jamais neutre : il peut être intime, mais il peut aussi être fabriqué par la réussite sociale, les attentes culturelles, ce que les autres valorisent à notre place. On explore l’idée que nous sommes souvent esclaves de nos obsessions. Et parfois, au lieu d’avancer pour soi, on avance pour prouver quelque chose au monde.

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