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Or
Nous devons la théorie du management situationnel à Paul Hersey et Kenneth Blanchard dans la fin des années 80.
Leurs travaux partent de la notion d'autonomie de chacun des collaborateurs ou de l'équipe et stipulent le postulat de base suivant:
Le manager doit repérer les niveaux d'autonomie de ses collaborateurs pour adapter son style de management à chacun.Le manager a donc la responsabilité du développement de l’autonomie des membres de son équipe.
Ensuite le management, pour être vecteur d'efficacité et de succès, doit s'adapter en permanence.
On parle alors de leadership/management situationnel.
Il n'y a pas de bon ni de mauvais style.Tout est question de circonstances, de situations et personnalités impliquées.
Définissons d'abord l'autonomieHersey et Blanchard définissent l'autonomie comme étant la somme de la motivation de la personne (veut elle faire) et de la compétence (sait elle faire).
Pour ma part, j'y rajoute aussi une 3e composante: a t elle les moyens de faire (ressources externes à elle même)
AUTONOMIE = MOTIVATION + COMPETENCE (+ MOYENS)L'autonomie de chaque individu est, selon nos 2 comparses, définie en 4 catégories (A1 à A4).
Hersey et Blanchard ont alors identifié 4 postures managériales à mettre en face de chacune des autonomies.
Avantages/Inconvénients du modèle Situationnel
Ce modèle est assez simple à prendre en main avec seulement 4 styles (quand d'autres en proposent 5 voir 9).
Il permet quand on connait les missions de ses collaborateurs de rapidement trouver les niveaux d'autonomie et dans la foulée les façons d'aborder le collaborateur avec le bon style du moment.
C'est une bonne méthode de départ quand on est un jeune manager ou quand on prend en main un nouveau service.
Les liens de l'épisodeSi tu souhaites rejoindre la communauté de la newsletter Manager Pro, c'est ici: https://www.manager-pro.fr
Crédit AudioMusique composée avec ❤️ par Didier Decle : https://www.didier-decle.fr/
Nous devons la théorie du management situationnel à Paul Hersey et Kenneth Blanchard dans la fin des années 80.
Leurs travaux partent de la notion d'autonomie de chacun des collaborateurs ou de l'équipe et stipulent le postulat de base suivant:
Le manager doit repérer les niveaux d'autonomie de ses collaborateurs pour adapter son style de management à chacun.Le manager a donc la responsabilité du développement de l’autonomie des membres de son équipe.
Ensuite le management, pour être vecteur d'efficacité et de succès, doit s'adapter en permanence.
On parle alors de leadership/management situationnel.
Il n'y a pas de bon ni de mauvais style.Tout est question de circonstances, de situations et personnalités impliquées.
Définissons d'abord l'autonomieHersey et Blanchard définissent l'autonomie comme étant la somme de la motivation de la personne (veut elle faire) et de la compétence (sait elle faire).
Pour ma part, j'y rajoute aussi une 3e composante: a t elle les moyens de faire (ressources externes à elle même)
AUTONOMIE = MOTIVATION + COMPETENCE (+ MOYENS)L'autonomie de chaque individu est, selon nos 2 comparses, définie en 4 catégories (A1 à A4).
Hersey et Blanchard ont alors identifié 4 postures managériales à mettre en face de chacune des autonomies.
Avantages/Inconvénients du modèle Situationnel
Ce modèle est assez simple à prendre en main avec seulement 4 styles (quand d'autres en proposent 5 voir 9).
Il permet quand on connait les missions de ses collaborateurs de rapidement trouver les niveaux d'autonomie et dans la foulée les façons d'aborder le collaborateur avec le bon style du moment.
C'est une bonne méthode de départ quand on est un jeune manager ou quand on prend en main un nouveau service.
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