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Arrivée du 1/3 Bataillon de Lanciers de Marche-en-Famenne
Une grande partie des militaires principalement issus du 1/3 Bataillon de Lanciers de Marche-en-Famenne rentrent en Belgique cette semaine, après 4 mois passés en Roumanie. Ils seront relevés par des militaires néerlandais.
Un premier vol a atterri lundi à l’aéroport de Melsbroek. Le second atterrira ce vendredi 24 juin, avec à son bord une soixantaine de militaires, dont le commandant d’escadron du 1/3 Bataillon de Lanciers ainsi que des militaires de différentes unités qui étaient en appui (éléments logistiques, médicaux, Génie etc.) . Des éléments logistiques restent toutefois sur place afin, notamment, de démonter le cantonnement et préparer le retour des véhicules par colonnes (route et trains).
Le détachement complet était composé d’environ 300 hommes et femmes provenant de 9 unités différentes. Ils étaient intégrés au sein du 27 Bataillon de Chasseurs Alpins (France), fort de 500 personnes, pour former ensemble le bataillon « fer de lance » de l’OTAN, premier élément à être déployé en cas d’activation du plan de défense collective.
Le bataillon s’est entraîné avec d’autres nations partenaires dont, les Roumains, les Polonais, les Américains et bien entendu les Français afin de renforcer leur interopérabilité. Durant leur déploiement, ils ont participé à plusieurs grands exercices internationaux dans divers camps roumains dont Babadag, Smardan, Saint-Georges, Prislop et dernièrement à Cincu.
Note aux rédactions
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By RedaconewsmediaUne grande partie des militaires principalement issus du 1/3 Bataillon de Lanciers de Marche-en-Famenne rentrent en Belgique cette semaine, après 4 mois passés en Roumanie. Ils seront relevés par des militaires néerlandais.
Un premier vol a atterri lundi à l’aéroport de Melsbroek. Le second atterrira ce vendredi 24 juin, avec à son bord une soixantaine de militaires, dont le commandant d’escadron du 1/3 Bataillon de Lanciers ainsi que des militaires de différentes unités qui étaient en appui (éléments logistiques, médicaux, Génie etc.) . Des éléments logistiques restent toutefois sur place afin, notamment, de démonter le cantonnement et préparer le retour des véhicules par colonnes (route et trains).
Le détachement complet était composé d’environ 300 hommes et femmes provenant de 9 unités différentes. Ils étaient intégrés au sein du 27 Bataillon de Chasseurs Alpins (France), fort de 500 personnes, pour former ensemble le bataillon « fer de lance » de l’OTAN, premier élément à être déployé en cas d’activation du plan de défense collective.
Le bataillon s’est entraîné avec d’autres nations partenaires dont, les Roumains, les Polonais, les Américains et bien entendu les Français afin de renforcer leur interopérabilité. Durant leur déploiement, ils ont participé à plusieurs grands exercices internationaux dans divers camps roumains dont Babadag, Smardan, Saint-Georges, Prislop et dernièrement à Cincu.
Note aux rédactions