C’est une histoire qui fascine les Québécois et les Québécoises depuis plus d’un siècle que celle d’Aurore Gagnon, décédée des mauvais traitements infligés par sa belle-mère et son père. Cette semaine, on se demande pourquoi et comment cette histoire tragique mais loin d’être unique, a pu marquer notre imaginaire collectif de la sorte. Note: cet épisode ne contient aucune description des sévices physiques que "La marâtre de Sainte-Philomène" aurait prétenduement fait subir à sa belle-fille.