Dieu est mon rocher, je me confierai en lui, mon bouclier…, ma haute retraite et mon refuge.

2 Samuel 22. 3

Toi, mon âme, repose-toi paisiblement sur Dieu ; car mon espoir vient de lui.

Psaume 62. 6

Un rocher solide

“Dans nos vies, notre Créateur met à disposition différents moyens pour nous mettre en sécurité ; il est lui-même la sécurité ultime. Mais parfois, obstinés, nous la refusons, croyant pouvoir nous en sortir par nos propres forces. Nous plaçons notre confiance dans des choses matérielles et instables qui au moindre coup de vent sont balayées.

Un jour, mon cœur a crié à Dieu : “Si tu existes, c’est le moment d’intervenir”. Et il l’a fait. D’abord, il m’a “sortie de l’eau” et mise en sécurité sur le rivage. Il m’a parlé, réconfortée, encouragée, aimée. Mon cœur, tellement vulnérable à ce moment-là, s’est laissé remplir de l’amour inconditionnel venant du Créateur. Comme un père est censé prendre soin de ses enfants et les mettre en sécurité, Dieu le fait pour chacun de nous si nous le laissons faire, si nous lui faisons confiance.

Puis de jour en jour, il m’a montré à quel point il était un rocher stable et solide auquel je pourrai toujours m’accrocher. Cela fait maintenant 5 ans que je suis guérie de l’anorexie mentale. Chaque fois que je sens l’insécurité et la peur toquer à ma porte, je ne les laisse pas entrer et je cours me réfugier dans les bras de Dieu où je trouve sécurité et réconfort. Là, je n’ai plus peur, mon cœur est apaisé. Dieu me parle, me rappelle ses promesses, me rappelle qu’il m’a sauvée pour l’éternité. Il ne m’abandonnera jamais.”

Charlotte V.

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On lui donna son tombeau avec les méchants ; mais il a été avec le riche dans sa mort.

Ésaïe 53. 9

[Joseph d’Arimathée prit le corps de Jésus], l’enveloppa d’un linceul pur et le mit dans son tombeau neuf qu’il avait taillé dans le roc.

Matthieu 27. 59-60

Discussion (2)

Bible en main, d’autres prophéties de l’Ancien Testament sont évoquées au sujet du Christ :

Psaume 22. 19 : “Ils partagent entre eux mes vêtements, et sur ma robe ils jettent le sort.” Alors que Jésus était cloué sur la croix, c’est ce qu’ont fait les quatre soldats romains (Jean 19. 24). Voulaient-ils accomplir cette prophétie ?

Psaume 69. 22 : “Dans ma soif, ils m’ont abreuvé de vinaigre.” En proie à d’atroces souffrances, Jésus aurait-il pris l’initiative de ces faits, ou étaient-ce les habitudes de la garde romaine (Luc 23. 36) ?

Psaume 34. 21 : “Il garde tous ses os, pas un d’eux n’est cassé.” Lorsque Jésus est mort, les soldats ne lui ont pas brisé les jambes, comme ils l’ont fait aux deux malfaiteurs (Jean 19. 32-33). Connaissaient-ils ce texte ?

Zacharie 12. 10 : “Ils regarderont vers moi, celui qu’ils auront percé.” Par ce dernier outrage à la personne du Fils de Dieu, le soldat romain met en évidence l’amour du Sauveur qui payait le prix en donnant sa vie : “L’un des soldats lui perça le côté avec une lance ; et aussitôt il en sortit du sang et de l’eau”… “Le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché” (Jean 19. 34 ; 1 Jean 1. 7).

Enfin Ésaïe 53. 9 a été réalisé à l’initiative de Joseph, un homme riche d’Arimathée, qui était devenu disciple de Jésus (textes du jour).

Toutes ces prophéties ont été réalisées à la lettre, à l’insu des hommes qui en étaient les acteurs. On admire la cohérence de la Bible, Parole de Dieu : “Toute Écriture est inspirée de Dieu” (2 Timothée 3. 16).

(fin)

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Et toi, Bethléem Éphrata, bien que tu sois petite entre les clans de Juda, de toi sortira pour moi celui qui doit dominer en Israël, celui dont les origines ont été dès les temps anciens.

Michée 5. 1

(Jésus dit :) Sondez les Écritures… ce sont elles qui rendent témoignage de moi.

Jean 5. 39

Discussion (1)

Un croyant et un groupe de jeunes, la plupart opposés à l’enseignement chrétien, discutent :

– Vous connaissez les nombreuses prophéties de l’Ancien Testament concernant le Messie. Le Seigneur Jésus les a accomplies littéralement. L’un des jeunes me répond :

– Oui, mais ces prophéties ont été écrites longtemps avant la naissance du Christ, et, comme il les connaissait, il les a réalisées d’après ces textes pour affirmer qu’il était bien le Messie.

– Expliquez-moi alors comment le Christ a bien pu naître précisément dans ce petit village de Bethléem, où, d’après le prophète Michée, le Fils éternel devait naître sur la terre. Et comment Jésus a fait pour naître exactement à ce moment-là et dans la famille que l’Écriture Sainte avait annoncée. Un autre jeune me lance :

– Est-ce qu’on ne peut pas imaginer que Jésus, voyant qu’il était né à Bethléem au temps annoncé, et dans cette famille précise, avait simplement décidé de se conduire de façon à être reconnu comme le Messie ?

– On peut l’imaginer, mais expliquez-moi comment Jésus s’est arrangé pour que deux criminels soient crucifiés avec lui, comme il est dit en Ésaïe 53. 12 et rappelé en Marc 15. 28 : “Il a été compté parmi les iniques”.

Pensez-vous aussi que Judas se soit mis d’accord avec les grands prêtres afin de trahir Jésus pour trente pièces d’argent (Matthieu 26. 15), juste pour accomplir la prophétie de Zacharie 11. 13 ?

(à suivre)

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Poursuivez la paix avec tous, et la sainteté, sans laquelle personne ne verra le Seigneur.

Hébreux 12. 14

Dieu ne nous a pas appelés à l’impureté, mais dans la sainteté.

1 Thessaloniciens 4. 7

L’œuvre de Dieu… et la mienne

Un agriculteur cultive son champ, le laboure, l’enrichit, le sème, tout en sachant bien qu’en fin de compte, il ne peut pas faire germer la semence, provoquer la pluie ou faire briller le soleil en vue d’une meilleure récolte. Pour que son travail soit fructueux, il faut l’action de Dieu. Cet homme n’est pas capable d’accomplir ce qui est du ressort de Dieu, et Dieu ne remplira pas la tâche du paysan.

Il en est de même de la sanctification. Ce mot peu compris signifie simplement le fait de rejeter le mal et de choisir le bien. Aucun chrétien ne peut se sanctifier si le Seigneur n’est pas à l’œuvre dans sa vie, mais il ne progressera pas non plus, sans efforts ni persévérance, sur ce chemin de sainteté. Dieu a créé les conditions qui nous permettent de vivre dans la sainteté, mais c’est bien à nous d’y marcher : Dieu ne se substitue pas à nous.

Amis chrétiens, nous parlons volontiers de la victoire que Christ a remportée sur le péché par la croix, et du don de l’Esprit Saint qui nous permet d’être victorieux. Mais cette victoire appelle aussi notre responsabilité de combattre contre le péché, en nous confiant dans le Seigneur.

C’est pourquoi écoutons cette parole : “Poursuivez la sainteté”. Cette poursuite est plutôt une course dans la durée qu’un 100 mètres. Mais quelle joie de découvrir que le Seigneur veut nous donner la victoire sur tout ce qui nous égare et nous rend captifs, pour avoir une vie fructueuse : “vous avez votre fruit dans la sainteté” (Romains 6. 22).

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Le corps n’est pas pour la fornication, mais il est pour le Seigneur, et le Seigneur pour le corps.

1 Corinthiens 6. 13

Le corps du chrétien

Quelques années après la mort et la résurrection de Jésus Christ, il y avait dans l’église de Corinthe de nombreuses personnes qui s’étaient converties au christianisme. En raison de leur passé païen, ces croyants considéraient que la fornication (relations sexuelles hors mariage) était permise, puisqu’elle n’affectait “que” le corps. L’apôtre Paul indique clairement à ses lecteurs que, en tant que chrétiens, ils ont été lavés et sanctifiés, et que leur esprit, leur âme et leur corps sont pour le Seigneur (verset du jour).

Il n’y a pas seulement mon cœur, mais aussi mon corps qui appartient au Seigneur. Y avons-nous déjà pensé ? N’est-il pas fascinant et magnifique d’appartenir “corps et âme” au Seigneur Jésus et de pouvoir mettre notre vie à sa disposition ? Cela nous libère du culte de notre corps, mais nous encourage aussi à ne pas le négliger ! Christ nous a achetés, nous vivons maintenant pour lui. Et le Seigneur du corps prend soin de nous et ne nous délaissera pas.

Pourquoi le corps est-il alors si précieux pour Dieu ? Paul nous fournit la réponse : “Dieu a ressuscité le Seigneur ; il nous ressuscitera aussi par sa puissance” (1 Corinthiens 6. 14). Dieu ressuscitera notre corps actuel, pour que nous puissions l’adorer, Lui et le Seigneur Jésus, dans ce corps alors transformé.

Paul indique également que le Saint Esprit habite dans le corps du croyant (1 Corinthiens 6. 19). Tout cela montre que le corps est très important aux yeux de Dieu ; nous devrions par conséquent le garder dans la pureté, notamment sexuelle.

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Nous raconterons à la génération à venir les louanges de l’Éternel, et sa force, et ses merveilles qu’il a faites.

Psaume 78. 4

Ils viendront et raconteront sa justice à un peuple qui naîtra.

Psaume 22. 32

Que laisserons-nous à nos enfants ?

“Que laisserons-nous à nos enfants ? Dans quel état laisserons-nous cette terre ?” Ces questions nous sont fréquemment posées, et nous font prendre conscience de nos responsabilités et de nos défaillances.

La Bible nous invite à comprendre que nous sommes responsables de l’éducation et de l’enseignement de nos enfants. Nous sommes souvent préoccupés par l’héritage matériel et terrestre que nous leur laisserons. Mais qu’allons-nous laisser à nos enfants comme enseignement spirituel et moral ? Dieu nous dit : “Ces paroles, que je te commande aujourd’hui, seront sur ton cœur. Tu les inculqueras à tes fils, et tu en parleras, quand tu seras assis dans ta maison, et quand tu marcheras par le chemin, et quand tu te coucheras, et quand tu te lèveras” (Deutéronome 6. 6-7). Nous sommes invités à leur parler des commandements que Dieu a donnés à l’être humain. Ils nous montrent sa pensée à l’égard du bien et du mal. Ils révèlent aussi notre indignité devant un Dieu juste et saint. Asaph, l’auteur du psaume cité aujourd’hui, nous propose de raconter les merveilles contenues dans les récits de la Bible. Ceux-ci sont encore utiles aujourd’hui pour nous instruire : par-dessus tout, ce que Jésus a fait pour chacun de nous ; sa vie parfaite devant Dieu ; sa mort sur la croix de Golgotha, portant les péchés du croyant ; sa résurrection témoignant de sa victoire sur la mort et aussi de sa divinité.

Transmettons à nos enfants ces témoignages de la grâce immense de Dieu et de son amour.

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Honore ton père et ta mère.

Éphésiens 6. 2

La dernière occasion

Un vieux médecin rappelle un souvenir du temps de sa jeunesse. “À la fin d’une chaude journée de juillet, à la sortie de notre village, j’ai rencontré mon père, qui se préparait à aller à pied à la ville voisine. Il me dit :

– Pourrais-tu me porter ce paquet en ville ? Je voulais y aller, mais je ne me sens pas bien ce soir.

Ma première réaction a été de refuser. J’avais douze ans, et j’avais été occupé depuis l’aube à aider pour la fenaison. J’étais plein de poussière, fatigué et assoiffé, et je n’avais qu’une envie, c’était de manger – et maintenant il fallait que je fasse ce long trajet jusqu’à la ville ! Mais une voix intérieure m’a retenu. Je crois bien que c’était Dieu lui-même.

– Bien sûr que je vais faire cela pour toi, papa, ai-je dit de bon cœur, en prenant le paquet.

Touché, mon cher vieux père a mis la main sur mon épaule en disant :

– Merci, mon cher garçon. Tu as toujours été pour moi un bon fils, un fils fidèle.

En revenant de la ville, j’ai vu de loin une foule de gens autour de notre maison. Quand ils m’ont vu, l’un des hommes a couru vers moi, en larmes, et m’a dit :

– Pauvre garçon ! Tu venais de partir quand ton père s’est écroulé, mort.

Je suis maintenant un vieillard, mais tout au long de ces années, je n’ai jamais oublié de remercier Dieu pour ces dernières paroles de mon père : Tu as toujours été pour moi un bon fils, un fils fidèle.”

Imitons Jésus qui, pour son Père, a toujours fait “ce qui lui est agréable” (Jean 8. 29).

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Personne n’a un amour plus grand que celui-ci : que quelqu’un laisse sa vie pour ses amis.

Jean 15. 13

[Le] Fils de Dieu… m’a aimé et… s’est livré lui-même pour moi.

Galates 2. 20

Jésus l’aima

Dans un petit village, un croyant avait placé sur sa clôture un écriteau avec ces mots : “Jésus l’aima”. Au bord de la route, il était à la vue de tous. Comme l’apôtre Jean, qui se nommait “le disciple que Jésus aimait” (Jean 13. 23), ce chrétien témoignait de l’amour de son Sauveur. Lorsqu’il dut vendre sa maison, l’écriteau disparut. Le nouvel acquéreur n’avait sans doute pas réalisé que Dieu l’aimait.

La Bible nous raconte l’histoire d’un homme qui veut avoir la vie éternelle (Marc 10. 17-22). Il est jeune, c’est un chef du peuple (Matthieu 19. 20 ; Luc 18. 18), il est riche. Il a tout ce qu’il faut pour être heureux sur la terre. Il se conduit bien. Il réalise pourtant qu’il lui manque l’essentiel, la vie éternelle, et accourt vers Jésus pour lui présenter sa demande. Voilà un excellent réflexe, que nous devrions nous aussi toujours adopter. “Jésus l’aima”. Mais la réponse le déçoit : “Vends tout ce que tu as, donne aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel ; et viens, suis-moi” (Marc 10. 21). Elle révèle que les biens de cette terre prenaient plus de place que Jésus dans son cœur. Il s’en va tout triste, incapable de se débarrasser de ses richesses.

Jésus a manifesté un amour véritable envers chacun de nous. Il a donné sa vie pour effacer nos fautes et nous amener à Dieu. Oui, il nous aime et voudrait que nous ne fassions pas comme cet homme, mais que nos cœurs répondent à son amour, en croyant en lui et en le suivant pour notre propre bonheur. Il voudrait que nous proclamions, nous aussi : “Jésus nous aime”.

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En chantant et en dansant, ils diront : Toutes mes sources sont en toi !

Psaume 87. 7

L’amour du Christ nous étreint.

2 Corinthiens 5. 14

L’inépuisable source

Trouver nos joies en toi

Quand l’heure est au plus sombre,

Quand seule reste la foi

Pour marcher à ton ombre.

Vivre de toi, Jésus, toujours,

À toi regarder à toute heure,

Trouver en toi notre bonheur,

Jamais déçus par ton amour.

Viens à notre aide, Seigneur,

Pour rester en ta lumière,

Bien plus fervents en prières,

Rejetant du monde l’horreur.

Sourire à ta miséricorde,

Sentir, s’ouvrir à ta présence,

Loger en ton cœur qui déborde,

Juste avancer en confiance.

Jésus, du péché le vainqueur,

De la mort grand libérateur,

De la vie puissante ressource,

De l’amour inépuisable source.

À toi la gloire maintenant et à toujours !

Bernard

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Je marcherai dans l’intégrité de mon cœur au milieu de ma maison.

Psaume 101. 2

Détourne mes yeux pour qu’ils ne regardent pas à ce qui est vain ; fais-moi vivre dans ta voie.

Psaume 119. 37

Dans nos maisons

Le premier verset cité continue ainsi : “Je ne mettrai pas devant mes yeux une chose de Bélial”, c’est-à-dire quelque chose de mauvais. Cet engagement pris par le roi David est une résolution ferme et radicale. Sommes-nous prêts nous aussi à prendre la décision de ne rien regarder, lire, ou écouter, qui soit mauvais ou impur, dans l’intimité de nos maisons ? Ou est-ce que nous prenons certaines libertés parce que nous sommes chez nous et que personne ne nous voit ? Le prédicateur Charles Spurgeon a écrit : “Ce que nous sommes à la maison, nous le sommes en réalité”.

David a vécu à une époque où les écrans, les magazines, les publicités suggestives n’existaient pas. Aujourd’hui, même à notre insu, nous pouvons très facilement voir des choses dont un chrétien doit se détourner. Et si nous cédons, nous courons le risque de nous habituer progressivement au mal. Alors nous oublions que nous sommes “une habitation de Dieu par l’Esprit” (Éphésiens 2. 22), et que Dieu “a les yeux trop purs pour voir le mal” (Habakuk 1. 13). Souvenons-nous de l’apôtre Paul qui invitait Timothée, un jeune croyant, à “fuir les convoitises de la jeunesse” (2 Timothée 2. 22), et les croyants de Corinthe à “fuir la fornication” (1 Corinthiens 6. 18). Il ne s’agit pas simplement de résister aux tentations et au mal, mais de les fuir. Dieu veut aider chaque croyant à prendre cette décision de cœur et à la mettre en pratique chaque jour : ne pas jouer avec le feu en laissant le mal s’introduire, même un tout petit peu, dans nos vies personnelles.

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