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Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de l’un des événements les plus marquants de l’histoire de Cayenne, une tragédie qui a transformé à jamais la ville et ses habitants : le grand incendie de 1888. Une nuit de chaos et de flammes qui allait non seulement ravager des quartiers entiers, mais aussi façonner l’avenir de cette cité en pleine évolution.
Nous sommes dans la nuit du 3 août 1888, une nuit ordinaire dans une Cayenne endormie. Les rues, bordées de maisons en bois aux toits de tôle, sont silencieuses sous un ciel étoilé. Mais à 3 heures du matin, un fracas suivi d’un éclat de lumière perce l’obscurité : un incendie vient de se déclarer dans une glacière de la rue Christophe Colomb. Une usine de fabrication de glace, un bâtiment innocent en apparence, mais qui abrite des machines fonctionnant à l’alcool et des réserves d’huile.
Très vite, le feu se propage. Les entrepôts voisins, remplis de barils de pétrole, d’huiles et d’autres produits inflammables, deviennent des torches géantes. Le vent, capricieux et changeant, transporte les braises ardentes de toiture en toiture, embrasant la nuit comme un feu d’artifice apocalyptique. En un rien de temps, ce n’est plus seulement un bâtiment, mais tout un quartier qui est menacé.
By WeshRadio / RPM973Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de l’un des événements les plus marquants de l’histoire de Cayenne, une tragédie qui a transformé à jamais la ville et ses habitants : le grand incendie de 1888. Une nuit de chaos et de flammes qui allait non seulement ravager des quartiers entiers, mais aussi façonner l’avenir de cette cité en pleine évolution.
Nous sommes dans la nuit du 3 août 1888, une nuit ordinaire dans une Cayenne endormie. Les rues, bordées de maisons en bois aux toits de tôle, sont silencieuses sous un ciel étoilé. Mais à 3 heures du matin, un fracas suivi d’un éclat de lumière perce l’obscurité : un incendie vient de se déclarer dans une glacière de la rue Christophe Colomb. Une usine de fabrication de glace, un bâtiment innocent en apparence, mais qui abrite des machines fonctionnant à l’alcool et des réserves d’huile.
Très vite, le feu se propage. Les entrepôts voisins, remplis de barils de pétrole, d’huiles et d’autres produits inflammables, deviennent des torches géantes. Le vent, capricieux et changeant, transporte les braises ardentes de toiture en toiture, embrasant la nuit comme un feu d’artifice apocalyptique. En un rien de temps, ce n’est plus seulement un bâtiment, mais tout un quartier qui est menacé.