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Titre: Ce que le jour doit à la nuit

Auteur: Yasmina Khadra

Narrateur: André Pauwels

Format: Unabridged

Durée: 11 hrs and 57 mins

Langue: Français

Date de publication: 04-24-09

Éditeur: Audiolib

Evaluation: 4 sur 5 sur 11 votes

Genres: Fiction, Contemporary

Résumé de l'éditeur:

"Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La guerre engageait ses dernières folies. Je cherchais Emilie. J'avais peur pour elle. J'avais besoin d'elle. Je l'aimais et je revenais le lui prouver."

Alors que Younes n'a que neuf ans, son père, paysan ruiné, doit se résoudre à le confier à son frère, un pharmacien parfaitement intégré à la communauté pied-noir d'une petite ville de l'Oranais. Rebaptisé Jonas, il grandit parmi de jeunes colons dont il devient l'inséparable camarade et tombe passionnément amoureux d'Emilie. La révolte algérienne sera, pour Younes-Jonas, sanglante et fratricide.

Avec la verve romanesque qu'on lui connaît, Yasmina Khadra éclaire d'un nouveau jour ce conflit ayant opposé deux peuples amoureux d'un même pays. Yasmina Khadra nous offre ici un grand roman de l'Algérie coloniale (entre 1936 et 1962) une Algérie torrentielle, passionnée et douloureuse et éclaire d'un nouveau jour, dans une langue splendide et avec la générosité qu'on lui connaît, la dislocation atroce de deux communautés amoureuses d'un même pays.

© Editions Julliard, 2008

© et (P) Audiolib, 2008

Avis des membres:

Une longue, et belle poèsie agassante aussi.

Le narrateur à était vraiment splendide, il à imiter et raconté l'histoire parfaitement et j'aimerais le reentendre.

Le livre était très bien écrit d'une poésies prose, semblables triste qui ne racontes pas seulement la vie d'un homme mais aussi l'histoire d'un peuple dans un âge turbulent.

Ma seul critique c'est que à fîge d'écouter le livre je démurra de plus en plus à détester le personnage principale jusqu'à sa devient une haïne chiant et fatigant. Je le trouvais trop trouillard à chaque mèprise de sa vie et son niveau d'indecision était énervant éventuellement. Au debut je me sentais comme si je le comprennait même si je n'avais pas eu d'expérience pareille. Et puis quand il faira quelques chose de trouillard ou don je n'était pas d'accord j'attribué ça à sa jeunesse. Mais de fúr en mésure sa longue tristesse et enorme dépression m'énerva au bout de m'a patience pour lui. Je me disais qu'il n'était pas un vrais homme, et que jamais de sa vie n'avais fait-il quelques chose de courageux pour quel'qun d'autre. Il est contrôlé par une pitié en lui même et tourne en cercle sans jamais avoir un sense pour sa vie. J'espérais qu'il se suicide enfin pour mettre fin a mettre fin à sa longue vie inutile et j'ésperais la fin de plus en plus. J'aurais préféré une histoire sur Jelloul, ou Houari, ou Jean-Christophe, ou même sur sa sœur mais alas.