Que retient-on d’un film ou d’une série ? Des images, une histoire, quelques scènes marquantes, mais surtout une musique. Tout le monde se souvient des compositions de John Williams pour la saga Star Wars, de tous ces westerns sublimés par la musique d’Ennio Morricone ou encore de l’extrême tension du Shining de Stanley Kubrick.Ce que l’on appelle « musique à l’image » est un genre bien particulier, qui fait de la composition musicale un élément à part entière du langage cinématographique. La musique enrichit l’histoire, elle créé une émotion supplémentaire et accentue l’intensité de certaines scènes.Depuis une dizaine d’année, la violoniste bastiaise Célia Picciocchi a eu l’opportunité de participer à différents projets cinématographiques et documentaires en tant que compositrice. Elle a notamment signé la musique de « Ghjuvà est mort » de Gérôme Bouda, de documentaires de Laurent Billard, des « Flammes du Paradis » de Jean Froment ou encore de « l’Altra Strada », le documentaire de Laura Sanguinetti sur Lambert Santelli. Alors, comment utilise-t-on la musique au cinéma ? Dans quel but ? Comment compose-t-on dans ce cadre-là ? On en parle dans ce podcast !