Qu’est-ce que le programme LabEco ? De quelle manière les sciences humaines et sociales (SHS) peuvent interroger l’empreinte écologique de leurs propres pratiques ? Est-ce qu’il y a des « résistances » au changement ? Comment installer des dynamiques collectives sur ce sujet ? Comment concilier activité de recherche, action administrative et questionnement écologique ? Quelle est l’empreinte carbone de l’instrumentation et des publications en SHS ? Est-ce qu’il y a une mutualisation « vertueuse » de la gestion des données, du stockage, de la sauvegarde ? Quelles sont les contraintes et/ou facilitations administratives sur l’instrumentation ? Est-ce qu’il existe véritablement des « entraves administratives » à la recherche ? Quelles sont les données administratives d’une unité de recherche SHS ? Quels sont les avantages et inconvénients de la dématérialisation des activités ? Est-ce qu’il faut en faire moins (moins de recherche, moins de publications, moins d’activités) ? Est-ce qu’il y a un avant et un après COVID-19 (nature et portée de nos activités) ? Quels publics devons-nous sensibiliser et de quelle manière ? Est-ce que les indicateurs sensibilisent les individus ou pilotent le changement ?

Le troisième épisode du podcast C’est pas donné laisse la parole à Steve Hagimont, Maître de conférences en histoire contemporaine à Sciences Po Toulouse, et Laura Faucher, gestionnaire administrative du Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines (CHCSC).

Animation de l’épisode : Maximilien Petit (CHCSC) et Augusto Britto (Universitat de Barcelona).

Thématiques : Programme LabEco, sobriété numérique, empreinte carbone et écologique dans les laboratoires de recherche, données de recherche et données administratives

Comment comprendre l’institutionnalisation de la question des données de recherche ? Est-ce qu’il existe un décalage entre les préconisations et les pratiques sur le terrain ? Comment passer du terrain de recherche à l’ouverture des données ? Quelle place pour l’interdisciplinarité et le multilinguisme ? Quelles sont les formes de collaborations qui peuvent exister entre les bibliothécaires, les archivistes, les ingénieurs et la recherche ? Quels types d’accompagnement pour les SHS dans le cadre de projets européens ? Quelle légitimité pour les professionnels de l’I.S.T (Information scientifique et technique) ? Comment comprendre concrètement « l’apprentissage par la recherche » ? Comment former les doctorants sur la question des données de recherche ?

Le second épisode du podcast C’est pas donné laisse la parole à Caroline Moine, Professeure en histoire culturelle des XXe et XXIe s., directrice du Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, et Karine Pellerin, bibliothécaire, chargée des données de la recherche et de l’aide aux porteurs de projets au sein de la DBIST de l’UVSQ.

Animation de l’épisode : Maximilien Petit (CHCSC) et Augusto Britto (Universitat de Barcelona).

Thématiques : Programme LabEco, sobriété numérique, empreinte carbone et écologique dans les laboratoires de recherche, données de recherche et données administratives

Qu’est-ce qu’une culture de la donnée ? Quelle « valeur » pour les données des sciences humaines et sociales (SHS) ? Quelles sont les stratégies à mettre en place pour pallier au manque de moyens informatiques et de personnels d’appui ? Comment faire réseau avec des bibliothécaires, des ingénieurs, des enseignants-chercheurs ? Quel positionnement des infrastructures de recherche par rapport au fonctionnement en « silo » des projets des SHS ? Finalement, quel est véritablement le cœur de métier de l’Information scientifique et technique (I.S.T) ? Quelles sont les ambitions de Recherche Data Gouv et des évaluations HCERES concernant les données de recherche ? Comment améliorer l’accompagnement à la rédaction de plan de gestion de données (PGD) ? Est-ce qu’il faut former les étudiants de Master sur toutes ces questions ?

Le premier épisode du podcast C’est pas donné laisse la parole à Joachim Schöpfel, maître de conférences émérite en Sciences de l’Information et de la Communication à l’Université de Lille, et Mireille Brenel, conservatrice des bibliothèques, chargée de mission Données de la recherche, coordinatrice de l’atelier de la donnée DatASaclay de la DiBISO de l’Université Paris-Saclay.

Animation de l’épisode : Maximilien Petit (CHCSC) et Augusto Britto (Universitat de Barcelona).

Thématiques : Programme LabEco, sobriété numérique, empreinte carbone et écologique dans les laboratoires de recherche, données de recherche et données administratives