
Sign up to save your podcasts
Or
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement.
Cette fois-ci, Cinéphiles de notre temps s’associe au collectif GRAVE qui organise des séances de courts-métrages chaque mois afin de montrer des films pirates, des films dormant dans des disques durs, des films qui ne passeront jamais au cinéma et devant vos yeux à moins d’un miracle. Ce collectif, dont nous faisons partie, a donné un espace de parole et de mouvements à des jeunes réalisateurs et réalisatrices pour qu’ils puissent faire voir leurs films et en discuter avec un public.
C’est au tour de Colette, réalisatrice du beau documentaire « Parler d’elles » projeté lors de la seconde séance de GRAVE, d’évoquer pour nous ses films refuges, et ce faisant, elle questionne le concept même du « film refuge » comme étant des films non pas pour se protéger du monde, mais pour se réconcilier avec la réalité - dans tous les cas, pour la vivre sans concessions, avec sa beauté et sa laideur toute entière.
FILMS ÉVOQUÉS :
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement.
Cette fois-ci, Cinéphiles de notre temps s’associe au collectif GRAVE qui organise des séances de courts-métrages chaque mois afin de montrer des films pirates, des films dormant dans des disques durs, des films qui ne passeront jamais au cinéma et devant vos yeux à moins d’un miracle. Ce collectif, dont nous faisons partie, a donné un espace de parole et de mouvements à des jeunes réalisateurs et réalisatrices pour qu’ils puissent faire voir leurs films et en discuter avec un public.
C’est au tour de Colette, réalisatrice du beau documentaire « Parler d’elles » projeté lors de la seconde séance de GRAVE, d’évoquer pour nous ses films refuges, et ce faisant, elle questionne le concept même du « film refuge » comme étant des films non pas pour se protéger du monde, mais pour se réconcilier avec la réalité - dans tous les cas, pour la vivre sans concessions, avec sa beauté et sa laideur toute entière.
FILMS ÉVOQUÉS :
0 Listeners