Notre façon de communiquer reflète qui nous sommes. Chaque mot, geste et ton révèle des aspects de notre personnalité. Les chercheurs montrent que notre style de communication se forme dès l'enfance.

C'est quoi la Gen Z ? Ces jeunes nés entre 1997 et 2012 qui semblent parfois venir d'une autre planète. Du moins, c'est ce que beaucoup de marketeurs pensent. Mais est-ce vraiment le cas ? Plongeons dans l'univers de cette génération qui défie nos repères.

Qui sont-ils vraiment ? Ce sont les premiers véritables natifs numériques, certes. Mais ils sont bien plus que ça. Ils sont aussi la génération la plus diverse de l'histoire, celle qui a grandi avec les crises (économiques, sanitaires, climatiques) et qui, paradoxalement, reste optimiste.

Pourquoi les marketeurs peinent à les cerner ? Peut-être parce qu'ils essaient de les comprendre avec des outils du passé. La Gen Z ne se laisse pas enfermer dans des cases. Elle est fluide, adaptable, et surtout, elle déteste qu'on essaie de la "cibler" de manière trop évidente.

Vous pensez être clair quand vous parlez ? Pourtant, ce que vous dites et ce que votre interlocuteur comprend sont souvent deux choses bien différentes. Chacun perçoit un message à travers son propre prisme, influencé par ses expériences, ses émotions et son état d’esprit du moment. Une phrase simple peut être interprétée de multiples façons selon la personne qui l’écoute.

Entre LinkedIn, Facebook, Instagram et autres plateformes, la frontière entre vie professionnelle et personnelle est de plus en plus floue. Alors, que faire lorsque vos collègues ou supérieurs vous envoient une demande de connexion ? Faut-il accepter pour renforcer les liens ou refuser pour préserver votre vie privée ?

Voici de quoi vous aider à prendre une décision éclairée.

Avant d’investir du temps et de l’argent, il faut comprendre où l’on en est. La communication ne se résume pas à publier sur les réseaux sociaux ou envoyer une newsletter. Elle doit répondre à des objectifs clairs et mesurables. Un état des lieux permet d’éviter les décisions impulsives et les actions inefficaces.

Sans diagnostic, impossible de savoir ce qui fonctionne et ce qui manque. L’état des lieux met en lumière les forces et les faiblesses de la communication actuelle. Il permet aussi d’identifier les opportunités et les menaces. Vous pourrez ainsi bâtir une stratégie solide et pertinente.

Vous partez de presque zéro ? Ce n’est pas un problème. Ce travail de fond vous aidera à structurer votre communication dès le départ. Vous gagnerez du temps et de l’efficacité sur le long terme.

Chaque année, la même rengaine revient dans les bureaux : « Faut qu’on prépare le rapport d’activité. » Soupirs, regards vers le plafond, calendrier qu’on retourne dans tous les sens… Et pourtant, bien pensé, cet exercice peut devenir bien plus qu’une formalité administrative.

Passons au crible tout ce qui entoure le rapport d’activité : son utilité réelle, sa structure, les étapes de sa création, les écueils à éviter et les bonnes idées à piocher pour qu’il soit aussi utile qu’intéressant.

Les chats règnent en maîtres sur internet depuis ses débuts. Des premiers mèmes "I can vas Cheezburger" aux stars félines d'Instagram, leur popularité ne faiblit pas. Cette domination féline traverse les années et les plateformes sans perdre de sa force.

Chaque jour, des millions de vidéos et photos de chats sont partagées sur les réseaux sociaux. Selon les statistiques récentes, le contenu félin génère en moyenne 30 % plus d'engagement que les autres types de publications. Ce phénomène mérite qu'on s'y attarde.

En tant que communicants, comprendre pourquoi les chats captent autant l'attention nous aide à saisir les mécanismes profonds de la viralité. Leurs secrets peuvent inspirer nos stratégies de contenu et nos campagnes.

Créer un trombinoscope, interne ou externe, est souvent une bonne idée. Pourtant, il arrive que certains collègues ne soient pas enthousiastes à l'idée d'y figurer. Comment gérer cette situation avec respect et efficacité ? Voici quelques pistes pour réussir votre projet.

La désinformation touche tout le monde. Elle brouille les messages, crée le doute et fragilise la confiance. Pour les communicants publics, c’est un défi quotidien. Comment garder le lien avec les citoyens quand tout peut être remis en cause en quelques clics ?

Vulgariser est un art. Simplifier sans dénaturer, captiver sans trop simplifier. Si vous êtes communicant, la vulgarisation est une compétence intéressante à posséder. Pourquoi ? Parce que toute information complexe, si elle n'est pas comprise, perd de sa valeur. Voici comment exceller dans cet exercice délicat.