Le rapport Négawatt suggère qu’en 2050 près de 50% de l’énergie nécessaire pour notre pays proviendra de la biomasse. Les voies de développement de cette « énergie nouvelle » sont multiples. Les chaudières à bois se multiplient; dans les campagnes, les fermes équipées de digesteurs produisent du méthane, pendant que d’autres cultivent des plantes nouvelles à fort potentiel énergétique.

Une autre voie prometteuse, développée par la société MiniGreenPower, a déjà été présentée l’an dernier au Groupe Energie. Elle consiste à traiter les déchets de biomasse par pyrolyse contrôlée, permettant la production de gaz et/ou d’électricité dans des conditions optimales et stabilisées.

Un an plus tard, nous vous proposons de faire le point sur le développement de cette start-up, et notamment sur les obstacles spécifiquement français auxquels elle se heurte.

En contrepoint, nous aurons le témoignage de collectivités territoriales en Autriche qui ont géré l’énergie que l’on peut tirer localement de la biomasse …grâce à une excellente collaboration entre tous les acteurs.

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