Culte en direct du Temple de Peseux, avec Yvena Garraud Thomas pour la prédication et Béatrice Jaquet et Félix Moser pour les lectures .
Avec la participation musicale d'Anne Kaufmann à l'orgue et au piano, et Mirjam Vogel au violoncelle.
La tradition attribue l’adjectif «bon» au Samaritain car le prochain est défini comme celui qui a été bon envers le blessé. Sommes-nous toujours enclins à faire ce geste de bonté et de compassion? Avons-nous toujours le temps de nous arrêter? Pourquoi devons-nous accueillir toute la misère du monde? Au lieu de culpabiliser et nous flageller à propos de nos manquements, la parabole du bon Samaritain montre notre capacité à voir et à nous émouvoir, nous faire prochain des personnes en situation de détresse comme le montre si bien l’accueil des Ukrainiens dans des familles en Suisse.