L'Assemblée nationale a voté pour le recours à la vidéosurveillance algorithmique, notamment pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. L'objectif est de détecter des comportements "anormaux" le plus rapidement possible. La France est le premier pays de l’Union européenne à utiliser cette technologie critiquée par des défenseurs des libertés. On en discute avec Katia Roux, chargée de plaidoyer Libertés à Amnesty International France et Guillaume Farde, consultant police justice BFMTV.