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Or
Depuis quelques temps le Politoscope s’est fixé pour objectif de mettre chaque semaine en lumière l’un des phénomènes créés ou accentués par les nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Cette semaine, c’est le tour du discours de haine, une pratique qui bien évidemment ne date pas d’hier, mais qui grâce aux réseaux sociaux est devenu à la portée de n’importe quel utilisateur malveillant.
Le Discours de haine consiste à pousser par le discours ou des écrits ou encore tout autre moyen des tiers à manifester de la haine, de la violence ou de la discrimination à l’encontre des personnes en raison de leur religion, race, origine nationale, ethnique, appartenance politique, etc. Ladite pratique a trouvé dans les réseaux sociaux un terreau fertile eu égard à la quasi impunité qui y règne mais aussi à cause du nouveau statut d’acteur de l’information que lesdits réseaux ont conféré aux utilisateurs.
Depuis quelques temps le Politoscope s’est fixé pour objectif de mettre chaque semaine en lumière l’un des phénomènes créés ou accentués par les nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Cette semaine, c’est le tour du discours de haine, une pratique qui bien évidemment ne date pas d’hier, mais qui grâce aux réseaux sociaux est devenu à la portée de n’importe quel utilisateur malveillant.
Le Discours de haine consiste à pousser par le discours ou des écrits ou encore tout autre moyen des tiers à manifester de la haine, de la violence ou de la discrimination à l’encontre des personnes en raison de leur religion, race, origine nationale, ethnique, appartenance politique, etc. Ladite pratique a trouvé dans les réseaux sociaux un terreau fertile eu égard à la quasi impunité qui y règne mais aussi à cause du nouveau statut d’acteur de l’information que lesdits réseaux ont conféré aux utilisateurs.