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Et si la littérature servait de boussole au milieu du clair-obscur humain? Nous accueillons Jason Lapierre, auteur autodidacte, qui raconte comment l’empathie guide sa plume pour traverser l’alerte Amber, la pédophilie, le fentanyl, la violence familiale et le deuil sans céder ni au voyeurisme ni aux lieux communs. Il explique pourquoi il a rebrandé Le Vampire du Café en Dévoreur d’Imaginaire, afin d’aligner le livre sur un lectorat prêt à affronter des thèmes durs, et comment un mélange de poèmes, récits et nouvelles peut se lire en rythme cadencé comme un véritable page turner.
On explore sa méthode: lectures en psychopathologie, observation du réel, refus éditoriaux qui fortifient, mentorat exigeant, et ce besoin vital d’espace mental pour écrire au-delà des week-ends. Jason partage des scènes qui marquent, de l’enfant qui croit la violence normale à la mère démunie, et montre comment la fiction brise l’omerta et ouvre la voie à la catharsis. Il revient aussi sur Freud, Jung et l’art d’arracher les masques pour laisser parler des personnages complexes, parfois monstrueux, toujours humains.
La conversation s’aventure là où ça gratte: liberté d’expression versus imaginaire, mouton noir contre masse, couteau ou pilule comme métaphores du risque social. À travers ses livres L’Encyclopédie des causes perdues et Dévoreur d’Imaginaire, Jason défend une littérature qui ose, qui touche et qui laisse des traces. Vous écrivez avec une plume sombre ou vous aimez les œuvres qui bousculent? Abonnez-vous, partagez l’épisode et dites-nous: quel sujet faudrait-il dire plus fort aujourd’hui?
Retrouvez tous les livres de l'auteur :
🌐 Page Facebook Jason Lapierre
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4e de couverture
By Jocelyne SemaEt si la littérature servait de boussole au milieu du clair-obscur humain? Nous accueillons Jason Lapierre, auteur autodidacte, qui raconte comment l’empathie guide sa plume pour traverser l’alerte Amber, la pédophilie, le fentanyl, la violence familiale et le deuil sans céder ni au voyeurisme ni aux lieux communs. Il explique pourquoi il a rebrandé Le Vampire du Café en Dévoreur d’Imaginaire, afin d’aligner le livre sur un lectorat prêt à affronter des thèmes durs, et comment un mélange de poèmes, récits et nouvelles peut se lire en rythme cadencé comme un véritable page turner.
On explore sa méthode: lectures en psychopathologie, observation du réel, refus éditoriaux qui fortifient, mentorat exigeant, et ce besoin vital d’espace mental pour écrire au-delà des week-ends. Jason partage des scènes qui marquent, de l’enfant qui croit la violence normale à la mère démunie, et montre comment la fiction brise l’omerta et ouvre la voie à la catharsis. Il revient aussi sur Freud, Jung et l’art d’arracher les masques pour laisser parler des personnages complexes, parfois monstrueux, toujours humains.
La conversation s’aventure là où ça gratte: liberté d’expression versus imaginaire, mouton noir contre masse, couteau ou pilule comme métaphores du risque social. À travers ses livres L’Encyclopédie des causes perdues et Dévoreur d’Imaginaire, Jason défend une littérature qui ose, qui touche et qui laisse des traces. Vous écrivez avec une plume sombre ou vous aimez les œuvres qui bousculent? Abonnez-vous, partagez l’épisode et dites-nous: quel sujet faudrait-il dire plus fort aujourd’hui?
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