C’est dans un contexte de montée des tensions géopolitiques que s’inscrit l’élection de Yoon Suk-Yeol, nouveau président conservateur de la Corée du Sud. Les négociations entre les deux pays séparés par une ligne de démarcation qu’aucun des deux ne reconnaît sont au point mort et promettent d’y rester. La Corée du Nord s’arme, ce qui fait craindre à son voisin du sud une invasion, et donc un conflit qui pourrait rapidement s’internationaliser.