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Or
La vague bleue marine annoncée depuis la dissolution n’aura finalement pas eu lieu lors de ce second tour : longtemps considéré aux portes de la majorité absolue, le Rassemblement national s’est finalement heurté au barrage républicain et finit avec un total de 143 sièges. Un score bien supérieur aux 89 postes obtenus en 2022, mais bien loin du seuil des 289 députés au-dessus duquel il aurait gouverné. La grande surprise de ces législatives anticipées, c’est le Nouveau Front populaire qui arrive en tête avec 193 sièges pour la prochaine législature. Enfin, la majorité sortante sauve les meubles avec 165 sièges, bénéficiant largement du report des voix des électeurs de gauche. Emmanuel Macron avait décidé de dissoudre l’Assemblée par souci de “clarification”, n’est-ce pas finalement l’inverse qui s’est produit avec cette tripartition ?
Invités :
- Vincent Martigny, professeur de sciences politiques à l’université de Nice – Côte d’Azur et à l’école polytechnique
- Olivier Rouquan, politologue, chercheur associé au CERSA
- Frédéric Dabi, directeur général de l'institut de sondage IFOP, directeur du pôle Opinion et Stratégies
- Mathieu Plane, directeur adjoint à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE)
GRAND DÉBAT politique / Quelle coalition pour éviter la paralysie ?
À la suite du second tour des élections législatives, l’Assemblée nationale se retrouve sans majorité absolue. La chambre basse pourrait alors devenir paralysée si les groupes politiques ne parviennent pas à s’allier sous forme de coalition majoritaire, une pratique très fréquente dans d’autres pays européens tels que l’Allemagne ou l’Espagne. Face à cette situation et en vue d’un nouveau gouvernement, le socialiste Raphael Glucksmann a souligné l’obligation de se « comporter en adulte ». Le 18 juillet à 15h, la nouvelle Assemblée devra se réunir pour la première fois. Les nouveaux députés seront-ils parvenus à former un groupe majoritaire au sein de l’hémicycle ?
Invités :
- Astrid Panosyan-Bouvet, députée Renaissance de Paris
- Jérôme Guedj, député socialiste de l’Essonne
- Elsa Faucillon, députée communiste des Hauts-de-Seine
- Raphaël Schellenger, député LR du Haut-Rhin
Abonnez-vous à la chaîne YouTube LCP Assemblée nationale ! https://bit.ly/2XGSAH5
et retrouvez-nous sur notre site : https://www.lcp.fr/ pour tous nos replays
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La vague bleue marine annoncée depuis la dissolution n’aura finalement pas eu lieu lors de ce second tour : longtemps considéré aux portes de la majorité absolue, le Rassemblement national s’est finalement heurté au barrage républicain et finit avec un total de 143 sièges. Un score bien supérieur aux 89 postes obtenus en 2022, mais bien loin du seuil des 289 députés au-dessus duquel il aurait gouverné. La grande surprise de ces législatives anticipées, c’est le Nouveau Front populaire qui arrive en tête avec 193 sièges pour la prochaine législature. Enfin, la majorité sortante sauve les meubles avec 165 sièges, bénéficiant largement du report des voix des électeurs de gauche. Emmanuel Macron avait décidé de dissoudre l’Assemblée par souci de “clarification”, n’est-ce pas finalement l’inverse qui s’est produit avec cette tripartition ?
Invités :
- Vincent Martigny, professeur de sciences politiques à l’université de Nice – Côte d’Azur et à l’école polytechnique
- Olivier Rouquan, politologue, chercheur associé au CERSA
- Frédéric Dabi, directeur général de l'institut de sondage IFOP, directeur du pôle Opinion et Stratégies
- Mathieu Plane, directeur adjoint à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE)
GRAND DÉBAT politique / Quelle coalition pour éviter la paralysie ?
À la suite du second tour des élections législatives, l’Assemblée nationale se retrouve sans majorité absolue. La chambre basse pourrait alors devenir paralysée si les groupes politiques ne parviennent pas à s’allier sous forme de coalition majoritaire, une pratique très fréquente dans d’autres pays européens tels que l’Allemagne ou l’Espagne. Face à cette situation et en vue d’un nouveau gouvernement, le socialiste Raphael Glucksmann a souligné l’obligation de se « comporter en adulte ». Le 18 juillet à 15h, la nouvelle Assemblée devra se réunir pour la première fois. Les nouveaux députés seront-ils parvenus à former un groupe majoritaire au sein de l’hémicycle ?
Invités :
- Astrid Panosyan-Bouvet, députée Renaissance de Paris
- Jérôme Guedj, député socialiste de l’Essonne
- Elsa Faucillon, députée communiste des Hauts-de-Seine
- Raphaël Schellenger, député LR du Haut-Rhin
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