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Or
De l’émission « Faites entrer l’accusé », aux séries Netflix revenant sur le parcours de criminels célèbres comme Ted Bundy ou Jeffrey Dammer, en passant par des émissions radio ou des chaînes Youtube dédiées, les récits de faits divers criminels semblent fasciner bon nombre de spectateurs. Loin d’être récent, cet attrait pour ce que les anglophones nomment le « True crime » s’est développé à la fin du 19e siècle avec émergence des rubriques « faits divers » dans les journaux. La fascination pour Jack l'éventreur constitue l'un des premiers exemples de l'attrait du public pour ce type de sujet. Par la suite, des magasines spécialisés apparaitront comme Détective en 1928 ou du Nouveau détective dans les années 50. Aujourd'hui, le fait divers se porte toujours bien comme le montre le récent succès du reportage Netflix sur l'affaire Michel Fourniret.
Beaucoup de gens reconnaissent être fascinés par ce type de contenu qu'ils trouvent effrayant, captivant et mystérieux. Pourtant, lorsque l'on y regarde de plus près, les affaires relatées sont souvent en lien avec des crimes comme des homicides ou des actes de tortures. Cet attrait partagé par une grande partie du public interroge donc. Au fond, apprécier ce type de contenu est-il réellement anodin ? Pis encore, la consommation de ces récits n'est-elle pas quelque peu malsaine ? On en discute aujourd'hui.
Mail : [email protected]
Instagram : agnes.podcast
De l’émission « Faites entrer l’accusé », aux séries Netflix revenant sur le parcours de criminels célèbres comme Ted Bundy ou Jeffrey Dammer, en passant par des émissions radio ou des chaînes Youtube dédiées, les récits de faits divers criminels semblent fasciner bon nombre de spectateurs. Loin d’être récent, cet attrait pour ce que les anglophones nomment le « True crime » s’est développé à la fin du 19e siècle avec émergence des rubriques « faits divers » dans les journaux. La fascination pour Jack l'éventreur constitue l'un des premiers exemples de l'attrait du public pour ce type de sujet. Par la suite, des magasines spécialisés apparaitront comme Détective en 1928 ou du Nouveau détective dans les années 50. Aujourd'hui, le fait divers se porte toujours bien comme le montre le récent succès du reportage Netflix sur l'affaire Michel Fourniret.
Beaucoup de gens reconnaissent être fascinés par ce type de contenu qu'ils trouvent effrayant, captivant et mystérieux. Pourtant, lorsque l'on y regarde de plus près, les affaires relatées sont souvent en lien avec des crimes comme des homicides ou des actes de tortures. Cet attrait partagé par une grande partie du public interroge donc. Au fond, apprécier ce type de contenu est-il réellement anodin ? Pis encore, la consommation de ces récits n'est-elle pas quelque peu malsaine ? On en discute aujourd'hui.
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