Inondations, vagues de chaleur ou de froid polaire, cyclones … ces dernières années, les évènements météorologiques extrêmes se sont multipliés. Leur récurrence et leur violence tendent à illustrer une triste réalité : celle du réchauffement climatique. Encore abstrait pour beaucoup d’entre nous il y a peu de temps, il est désormais impossible de passer à côté. En parallèle, grandit en nous une injonction toujours plus présente, toujours plus culpabilisante : celle d’agir concrètement pour protéger notre environnement des méfaits de l’action humaine.

Si nous acceptons volontiers de nous prêter au jeu du tri sélectif ou des petits gestes de réduction énergétique, d’autres actions comme moins voyager ou réduire notre consommation de viande peuvent se révéler plus problématiques.

Après tout, pourquoi faire des efforts lorsque l’on voit que certains pays comme la Chine ou les EU payent pour polluer ? Peut-on réellement agir à notre échelle individuelle ? N’est-il pas déjà trop tard ? Face à toutes ces questions qui nous assaillent, un constat s’impose : en fait, c’est difficile d’être écolo.

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