Blockchain, Bitcoin : entre alternative et aberration écologique il faut choisir ?
En octobre 2008, un certain Satoshi Nakamoto (c´est un nom d´emprunt et son identité est à ce jour non connue) sans doute un ami de Nicolas Bourbaki, publie un livre blanc sur la liste de diffusion de cryptographie du site metzdowd.com décrivant la monnaie numérique Bitcoin.
Il décrit un système de transaction décentralisé et sécurisé. Il s'appuie sur une sorte de "livre de compte" partagé et protégé par des mécanismes cryptographiques. Les usages de la technologie sont multiples, mais la première application livrée un an plus tard est la monnaie électronique décrite dans le livre blanc.
Malgré les preuves mathématiques de sa faillibilité, la monnaie suscite un engouement toujours actuel, elle offre une alternative décentralisée, sans banque centrale, sans influence des gouvernements, sans banque au Dollar ou à l'Euro.
Elle a donnée naissance à des concurrentes, Ehtereum par exemple, plus versatile et disposant d'une preuve formelle de sa sécurité.
Mais intéressons-nous à la technologie sous-jacente et notamment à ses impacts écologiques.