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Or


Donner une voix au fleuve Rhône, qu’est-ce que cela veut dire ? Comment passe-t-on de la perception d’une ressource à utiliser à la prise en compte du fleuve pour qui il est ?
Nous sommes le 21 mai 2023. Depuis Genève en novembre, nous avons longé le Rhône jusqu’aux confins de l’Isère, de l’Ardèche et de la Drôme. Plus exactement jusqu’à Sablons, une commune au bord du fleuve, entre ruralité et industries. C’est sur cette terre en lutte que vient de s’achever la troisième session de l’Assemblée populaire du Rhône, commanditée par l’association id·eau.
Le groupe des panélistes, toutes et tous habitants du bassin versant du fleuve, s’est frayé un chemin dans la complexité de cette région particulière où terres cultivées, prairies et réserve naturelle côtoient des cheminées d’usines classées seveso et une centrale nucléaire. Naviguant entre science et émotion, ils et elles ont analysé les discours des actrices et acteurs venus à leur rencontre. Ils et elles ont parcouru le temps long du Rhône, pris la mesure des interactions entre l’activité humaine et l’écosystème du fleuve, entendu aussi les limites du droit de l’environnement et visualisé sur le terrain l’histoire de combats. Invité·es à se décentrer en entrant dans la peau d’un persona, souvent non humain, vivant dans les parages du fleuve, ils et elles ont commencé à élaborer des scénarios pour le futur...
Cet épisode rassemble des récits. Ceux des panélistes arrivé·es à la mi-temps de la démarche. Ceux des personnes qui accompagnent leur travail. Et celui des luttes menées par l’association Vivre.
Merci au Centre de compétences en durabilité de l'Université de Lausanne, à l’association VIVRE et à l’association TEC (Travail et culture) pour leur soutien dans l'organisation de la session 3 de l'Assemblée populaire du Rhône.
By Assemblée Populaire du RhôneDonner une voix au fleuve Rhône, qu’est-ce que cela veut dire ? Comment passe-t-on de la perception d’une ressource à utiliser à la prise en compte du fleuve pour qui il est ?
Nous sommes le 21 mai 2023. Depuis Genève en novembre, nous avons longé le Rhône jusqu’aux confins de l’Isère, de l’Ardèche et de la Drôme. Plus exactement jusqu’à Sablons, une commune au bord du fleuve, entre ruralité et industries. C’est sur cette terre en lutte que vient de s’achever la troisième session de l’Assemblée populaire du Rhône, commanditée par l’association id·eau.
Le groupe des panélistes, toutes et tous habitants du bassin versant du fleuve, s’est frayé un chemin dans la complexité de cette région particulière où terres cultivées, prairies et réserve naturelle côtoient des cheminées d’usines classées seveso et une centrale nucléaire. Naviguant entre science et émotion, ils et elles ont analysé les discours des actrices et acteurs venus à leur rencontre. Ils et elles ont parcouru le temps long du Rhône, pris la mesure des interactions entre l’activité humaine et l’écosystème du fleuve, entendu aussi les limites du droit de l’environnement et visualisé sur le terrain l’histoire de combats. Invité·es à se décentrer en entrant dans la peau d’un persona, souvent non humain, vivant dans les parages du fleuve, ils et elles ont commencé à élaborer des scénarios pour le futur...
Cet épisode rassemble des récits. Ceux des panélistes arrivé·es à la mi-temps de la démarche. Ceux des personnes qui accompagnent leur travail. Et celui des luttes menées par l’association Vivre.
Merci au Centre de compétences en durabilité de l'Université de Lausanne, à l’association VIVRE et à l’association TEC (Travail et culture) pour leur soutien dans l'organisation de la session 3 de l'Assemblée populaire du Rhône.