Les mots sont souvent noyés derrière les images, il est temps de leur sortir la tête de l'eau !

Quand on prend le temps de s'en nourrir, de ne plus s'arrêter aux barrières du temps, de l'espace ou de la culture, on fait des pas de géants.

Si Epictete et Saint Augustin m'ont inspirée pour les 2 premiers épisodes, c'est cette fois-ci Orelsan qui m'a incitée à reprendre le micro, après de longs mois de pause. 

Sa punchline "On te demandera d'être PREMIER, jamais d'être HEUREUX" est tellement vraie. Il y a tellement de manières de l'aborder. Le sujet est si riche.

Je vous propose en moins de 15 minutes de :

• Creuser le sens de cet extrait du titre "notes pour trop tard" d'Orelsan, en pleine période de pandémie - où la folie du "toujours plus" au détriment d'un bonheur plus sobre et discret, montre cruellement ses limites. Pour ne pas dire ses dangers.

• Voir à quel point nous avons bien plus le pouvoir de changer nos automatismes et d'être acteurs de nos vies que nous le pensons. Peu importe notre âge.

• Découvrir la remise en question du culte de la performance et du "corps machine" dans le milieu sportif, également très touché par la crise Covid-19, avec notamment le report d'un évènement international incontournable : les JO. Nous parlerons d'ailleurs de la célèbre citation du Baron de Coubertin souvent condensée à "l'important c'est de participer" et à la différence majeure entre compétition et émulation.

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