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Depuis le plateau Radio Sports du Salon des Sports et Parasports 2025, Éric Rabesandratana partage une réflexion approfondie sur la santé mentale, la motivation, l’évolution du football et la vie après une carrière de haut niveau.
Pour Éric Rabesandratana, la santé mentale n’est plus un sujet secondaire : elle conditionne la motivation, la gestion des émotions et la capacité du sportif à s’adapter aux situations difficiles.
La préparation mentale devient un outil essentiel :
Il souligne l’évolution des clubs, qui intègrent désormais préparateurs mentaux, suivis personnalisés ou intervenants extérieurs.
L’ancien défenseur évoque la différence entre talent brut et travail intensif :
Il explique comment les croyances limitantes peuvent freiner les talents, et comment le mental permet de dépasser ses propres barrières.
Selon lui, les routines d’avant-match et les gestes symboliques ne relèvent pas d’une “destinée”, mais constituent un confort psychologique permettant d’apaiser le trac et la pression.
Il confie avoir traversé une forme de dépression après l’arrêt de sa carrière, non pas par effondrement, mais par un profond besoin de recul après des années difficiles.
Ce témoignage résonne avec les expériences vécues par de nombreux athlètes en transition.
Éric Rabesandratana porte aussi un regard critique sur :
Il rappelle qu’à 12, 14 ou 16 ans, le rôle des éducateurs est d’accompagner, pas de “gagner des matchs”.
À présent consultant pour plusieurs médias (radio, télé, commentaires sportifs), il s’intéresse également à la programmation neurolinguistique (PNL) pour comprendre, déconstruire et accompagner les mécanismes mentaux.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
By Radio SportsDepuis le plateau Radio Sports du Salon des Sports et Parasports 2025, Éric Rabesandratana partage une réflexion approfondie sur la santé mentale, la motivation, l’évolution du football et la vie après une carrière de haut niveau.
Pour Éric Rabesandratana, la santé mentale n’est plus un sujet secondaire : elle conditionne la motivation, la gestion des émotions et la capacité du sportif à s’adapter aux situations difficiles.
La préparation mentale devient un outil essentiel :
Il souligne l’évolution des clubs, qui intègrent désormais préparateurs mentaux, suivis personnalisés ou intervenants extérieurs.
L’ancien défenseur évoque la différence entre talent brut et travail intensif :
Il explique comment les croyances limitantes peuvent freiner les talents, et comment le mental permet de dépasser ses propres barrières.
Selon lui, les routines d’avant-match et les gestes symboliques ne relèvent pas d’une “destinée”, mais constituent un confort psychologique permettant d’apaiser le trac et la pression.
Il confie avoir traversé une forme de dépression après l’arrêt de sa carrière, non pas par effondrement, mais par un profond besoin de recul après des années difficiles.
Ce témoignage résonne avec les expériences vécues par de nombreux athlètes en transition.
Éric Rabesandratana porte aussi un regard critique sur :
Il rappelle qu’à 12, 14 ou 16 ans, le rôle des éducateurs est d’accompagner, pas de “gagner des matchs”.
À présent consultant pour plusieurs médias (radio, télé, commentaires sportifs), il s’intéresse également à la programmation neurolinguistique (PNL) pour comprendre, déconstruire et accompagner les mécanismes mentaux.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.