L'organisme Mikana a mis en place la boîte à outils décoloniale, un parcours d’autoformation en 5 niveaux, absolument formidable. En préambule de celui-ci, il est rappelé qu’il n’existe pas de définition unique et universellement acceptée de la décolonisation. Par conséquent, il incombe aux allochtones de décoloniser leur esprit et de s’éduquer. Widia Larivière nous explique pourquoi c’est important selon elle que cette responsabilisation soit non seulement collective mais aussi individuelle.


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[EXTRAIT] #30 : Pourquoi s'auto-éduquer aux réalités autochtones ? - Widia Larivière de Mikana

Quand tu entends le mot philanthropie tu sors les boules à mites ? Tu ouvres le dico ? Tu te dis que c’est un truc de riche ? Tu ne sais pas par quel bout prendre « l’amour de l’humanité » ?

Tu as tort et tu es sans doute une personne philanthrope qui s’ignore. Nous avons tous déjà fait l’expérience de la générosité envers autrui ou de la part d'autrui.

Dans ce podcast, je te propose de découvrir la philanthropie autrement, hors des sentiers battus et des chemins élitistes, avec un regard rafraîchissant et pédagogique. Tu feras la connaissance de porteurs de projet associatif ou caritatif, de dirigeants d’ONG ou de fondations, de personnes et personnalités engagées. Tu te nourriras des réflexions de chercheurs, d’acteurs de changement ou essayistes qui questionnent le sujet de manière accessible.

En écoutant Filantropio, tu comprendras que le spectre de la philanthropie est aussi large que le compte bancaire de Bill Gates et que t’as pas besoin d’aligner 10 zéros sur un chèque pour faire le bien autour de toi. Dans chaque épisode, j’explore et démystifie une facette de la générosité à l’échelle de la francophonie.

Le don de soi est un sujet d’avenir dans une société à la croisée des chemins.

Au cours des dernières décennies, nos sociétés ont surtout développé une obsession pour le lien à soi, porté aux nues par l’ère du développement personnel et du capitalisme. Depuis peu, on reconnaît l’importance de cultiver également le lien à la nature et le lien aux autres sous la forme d’un triptyque inséparable.

T’as pas envie d’être aussi bancal qu’un tabouret à 2 pattes ?

Alors viens tisser ce lien altruiste et rejoins-nous dans cette quête de sens, d'engagement et de solidarité.

Et si t’es un pro du fundraising, de la collecte de fonds ou de l’ESS, accorde-toi une halte sur les ondes de Filantropio pour te sortir la tête du guidon et faire le plein d’inspiration.

À la production et animation :
Charlène Petit : experte de la philanthropie depuis 2015, créatrice de la newsletter mensuelle Vitamine G, passionnée de fundraising digital et entrepreneure au service des marques caritatives. 
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Aujourd’hui direction la rue, en compagnie de Julien Bosch, PDG de l’agence Cause à Effet, pour découvrir le job de recruteur de donateurs.  
 Vous aussi, vous avez déjà changé de trottoir à la vue d’une sollicitation pour vous proposer de soutenir une association ? Ou évité tout contact visuel avec un recruteur de peur d’être pris pour cible ? Sans doute par manque de temps, par inconfort ou méconnaissance. 
 Dans cet épisode, je vous propose de mettre les préjugés de côtés pour faire un tour d’horizon du métier. Et je fais le pari qu’après l’avoir écouté, vous ne verrez plus les choses de la même manière. 
 Vous découvrirez notamment :  
 

#46 : Les coulisses du métier de recruteur de donateurs avec Julien Bosch, Président de Cause à Effet

Dans cet extrait, Julien Bosch, Président et fondateur de l'agence de street fundraising Cause à Effet, évoque tous les signes qui indiquent que vous êtes face à un mauvais recruteur de donateurs. 
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[EXTRAIT] #46 : Quels sont les red flags d'un mauvais recruteur de donateurs dans la rue ? - Julien Bosch, Président de Cause à Effet

Salut les philanthrophiles ! 
 Je vous propose un nouvel épisode bonus pour vous permettre de découvrir le podcast dédié la communication grande cause. Il s’agit de Mlle Pitch on air , animé par Magali Faget, que j'ai eu le plaisir de recevoir dans l'épisode 38.  
 Dans cet épisode hors-série, Élodie Lambourde, Directrice de la Communication et de la Collecte chez AIDES,  explore la culture du résultat dans la communication grandes causes, et le rôle fondamental que joue la pub sur la collecte. Elle souligne aussi l’importance de la communication hors-média pour les associations, partage son engagement contre toutes les discriminations, et exprime sa volonté d’apporter sa contribution à la fin du SIDA en continuant haut et fort de partager les valeurs d’AIDES. Une conversation percutante sur la nécessité de communiquer et l’espoir…. 
 Bonne découverte ! 
 Charlène
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BONUS : Quand la pub est utile aux ONG - Élodie Lambourde de l'association AIDES

Dans cet extrait, Françoise Benhamou, co-autrice de l'essai Le don dans l'économie, évoque les premiers travaux des économistes qui ont pensé le don à partir des années 60. 
 Références :Gary Becker, précurseur de l'économie comportementaleJames Buchanan et le Dilemme du SamaritainKenneth BouldingWilliam Vickrey
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[EXTRAIT] #45 : Les premiers économistes qui ont pensé le don - Françoise Benhamou

Avez-vous remarqué à quel point le don est partout ? À la caisse du supermarché, sur la fiche de paie, dans votre moteur de recherche, les publicités en ligne ou encore dans les programmes de fidélité. Quelles relations l’homo economicus entretient-il avec l’homo donator ? Quand la générosité a-t-elle basculé dans le monde rationnel de l’économie de marché ? Qu’ont révélé les premières recherches comportementales sur les motivations et déterminants du don ? 
 C’est ce que vous allez découvrir en compagnie de mon invitée, l’économiste Françoise Benhamou et co-autrice du livre Le don dans l'économie avec Nathalie Moureau. 
 Ensemble nous avons abordé :  
 

[EXTRAIT] #30 : Pourquoi s'auto-éduquer aux réalités autochtones ? - Widia Larivière de Mikana

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