Trois ministres se sont succédé début janvier pour annoncer la plateforme nationale
de calcul quantique hybride retenue après un an de travaux engagés par les porteurs
du projet. Ce dernier associe une infrastructure quantique paneuropéenne HPC quantique
et deux simulateurs quantiques de 100 qubits de la start-up française Pasqal.
Il bénéficie d’un budget de plus de 72 millions d’euros.