Si les robots conversationnels comme ChatGPT existent aujourd’hui, c’est bien grâce aux travaux de recherche qui ont été menés par le docteur Geoffrey Hinton. Ce scientifique britannique de 75 ans affiche désormais des regrets quant à l’utilisation dévoyée de l’intelligence artificielle, estimant « qu’il est difficile d’empêcher les mauvais acteurs de les employer à des fins malveillantes ».