Dans cet épisode de "Goldman, une vie en chansons", Éric Jean-Jean revient sur l'impact de Jean-Jacques Goldman sur la carrière d'autres artistes. Exemple avec l'histoire de Gérald de Palmas, qui, après un échec commercial, retrouve l'inspiration grâce à Goldman. Ce dernier transforme une maquette de De Palmas en la chanson "J'en rêve encore", marquant un tournant dans la carrière du chanteur.

Jean-Jacques Goldman travaillera ensuite avec Patrick Fiori, une collaboration initiée par une réponse à une lettre de Fiori. Leur collaboration, symbolisée par un numéro de téléphone griffonné sur une nappe, mène à une amitié durable et à plusieurs succès musicaux. Cet épisode met en avant le rôle de Goldman comme mentor, sa capacité à transformer des carrières.

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Dans cet épisode de "Goldman, une vie en chansons", Éric Jean-Jean retrace la carrière de Jean-Jacques Goldman, en se concentrant sur son évolution d'artiste solo à auteur-compositeur pour d'autres.

Cet épisode commence par sa collaboration avec Johnny Hallyday sur l'album "Gang", où Goldman compose dix titres, dont "L'envie", qui devient un incontournable des concerts de Johnny. Ensuite, ce podcast explore son travail avec Céline Dion sur l'album "D'eux", qui devient l'album francophone le plus vendu de l'histoire, grâce à des titres comme "Pour que tu m'aimes encore". Enfin, le podcast aborde sa collaboration avec Khaled pour "Aïcha", un succès international.

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Dans cet épisode de "Goldman, une vie en chansons", Eric Jean-Jean se penche sur l'engagement de Jean-Jacques Goldman en tant que chroniqueur de son époque, utilisant ses chansons pour aborder des thèmes sociaux et politiques. Le podcast explore la genèse de plusieurs morceaux emblématiques comme "Elle a fait un bébé toute seule" sur la thématique de la monoparentalité et des avancées sociales des années 80, telles que la contraception et la procréation médicalement assistée. La chanson "Frères" évoque elle les conflits armés, notamment en Bosnie-Herzégovine.

Jean-Jacques Goldman est décrit comme un observateur attentif, transformant l'actualité en musique intemporelle.

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Dans cet épisode de "Goldman, une vie en chansons", l'émission se penche sur l'engagement de Jean-Jacques Goldman, tant personnel que musical. Le podcast commence par explorer la discrétion de Goldman et la profondeur de ses messages à travers ses chansons. Un focus particulier est mis sur "Comme toi", une chanson qui aborde la Shoah, une chanson inspirée par l'histoire familiale de Jean-Jacques Goldman, notamment le courage de son père, résistant pendant la Seconde Guerre mondiale.

Cet épisode retrace également la création de la chanson des Restos du Cœur, écrite par Goldman après une demande de Coluche. Cette initiative a permis de lever des fonds significatifs pour l'association.

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Dans cet épisode de "Goldman, une vie en chansons", Eric Jean-Jean se penche sur la période où Jean-Jacques Goldman atteint le sommet de sa carrière musicale. Le podcast met en lumière son célèbre duo avec Michael Jones, "Je te donne", une chanson née dans un contexte socio-politique tendu des années 80, marqué par la montée du racisme et du Front national en France. Cette période inspire Goldman à écrire des textes prônant la tolérance et le métissage.

Cet épisode évoque également "La vie par procuration", une chanson qui dépeint la solitude moderne à travers l'histoire d'une vieille dame vivant par procuration. "À nos actes manqués" est également abordée, une chanson qui invite à relativiser les échecs et à les voir comme des étapes vers la réussite.

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Dans ce troisième épisode, retour sur l'évolution de Jean-Jacques Goldman en tant qu'artiste reconnu et incontournable, dont les œuvres continuent de marquer l'histoire de la chanson française.

Le podcast explore des titres emblématiques tels que "Envole-moi", "Encore un matin" et "Je marche seul", en détaillant leur succès commercial et leur résonance culturelle. "Envole-moi" est décrite comme un appel à l'élévation sociale et à l'éducation, tandis que "Encore un matin" incarne le positivisme et la résistance. "Je marche seul" est analysée comme une réflexion sur la solitude et la notoriété.

Cet épisode revient également sur la relation complexe de Jean-Jacques Goldman avec la presse, notamment son manque de reconnaissance par certains critiques rock, malgré son immense popularité.

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Dans cet épisode, retour sur l'ascension fulgurante de Jean-Jacques Goldman grâce à des titres emblématiques tels que "Quand la musique est bonne". Le podcast décrit comment Goldman, tout en travaillant chez Sport 2000, a su imposer sa musique sans faire de compromis, s'inspirant d'artistes comme Jimi Hendrix et les Nashville Teens.

Cet épisode explore également sa collaboration avec Michael Jones, notamment lors d'une performance en 1984, et sa rencontre marquante avec Daniel Balavoine lors d'un concert. Ce début de carrière marque la détermination de Goldman dont la volonté de ne pas se laisser dicter sa vie est prédominante dans son caractère, un trait qu'il partage avec des artistes comme Jacques Brel et Daniel Balavoine. Enfin, très tôt dans sa carrière, l'engagement de Goldman dans des causes humanitaires, notamment à travers des concerts caritatifs, est très présent.

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Le podcast "Goldman, une vie en chansons" se penche sur la carrière de Jean-Jacques Goldman, une figure aussi discrète qu'influente de la chanson française. Ce premier épisode explore ses débuts, depuis ses premières expériences musicales avec des groupes comme les Red Mountain Gospelers et Tai Phong, jusqu'à son lancement en solo.

Malgré des débuts difficiles et plusieurs refus de maisons de disques, son premier album éponyme, sorti en 1981, marque un tournant décisif grâce au soutien de Monique Le Marcis, en charge de la programmation musicale de RTL. Le succès de la chanson "Il suffira d'un signe" propulse Goldman sur le devant de la scène, bien qu'il soit initialement réticent à se produire en public.

Le podcast met en lumière son parcours atypique, ses convictions personnelles et son impact durable sur la musique française. En toile de fond, le contexte politique et social de l'époque est également évoqué, soulignant l'engagement et la sensibilité de Goldman face aux événements mondiaux.

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