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Le 22 janvier 2025, Aleph Alpha a posé un jalon avec T-Free, un modèle qui n’utilise plus de tokenisation classique mais des Hierarchical Autoregressive Transformers (HAT).
Sans découpage préalable du texte, le réseau apprend les morphologies et alphabets à la volée, ce qui élimine les biais vers l’anglais et réduit de 70 % le coût de fine-tuning pour les langues à faibles ressources. Source : ALEPH ALPHA.
Pour soutenir ce changement de paradigme, Aleph Alpha a signé avec AMD et Schwarz Digits.
Des clusters MI300A haute densité fournissent la bande passante mémoire nécessaire au pré-training HAT, tout en restant sur sol européen :
Les données sensibles ne quittent pas le continent.
Le 26 mai 2025, Aleph Alpha et STACKIT ont officialisé PhariaAI-as-a-Service :
Une offre SaaS déployée dans les datacentres du groupe Schwarz, certifiés C5 et ISO 27001.
Objectif : offrir aux entreprises et administrations une alternative RGPD-native aux hyperscalers américains. Sources : ALEPH ALPHA, heise online.
Traduction simultanée des formulaires administratifs, génération de réponses citoyennes multilingues et classification des requêtes.
Les gains : instantanéité et neutralité politique.
Analyse de contrats en grec ou croate, détection de clauses à risque et génération de résumés conformes à Bâle III. T-Free réduit les erreurs dues aux tokens hors vocabulaire.
Support technique multilingue embarqué sur edge gateways. Les MI300 du cloud STACKIT servent de centre d’inférence, tandis que des modèles distillés tournent sur site pour la continuité offline.
Aleph Alpha reste fidèle à sa réputation de « champion européen explicable ».
Sous PhariaAI, chaque appel modèle peut retourner une trace attentionnelle et un arbre décisionnel simplifié.
Cette transparence est clé pour les futures exigences de l’AI Act :
Documentation des risques, annotation des datasets et logs signés.
Entre l’innovation radicale de T-Free et le lancement de PhariaAI-as-a-Service, Aleph Alpha prouve qu’il est possible de concilier performance, souveraineté et explicabilité.
Pour les organisations européennes qui refusaient de choisir entre la puissance des LLM US et le respect du RGPD, l’alternative existe désormais.
Reste à chaque DSI de cartographier ses données, de tester T-Free sur ses langues « long tail » et de décider si, en 2025, la souveraineté ne vaut pas quelques jours de POC.
Les paris sont ouverts.
By ApclLe 22 janvier 2025, Aleph Alpha a posé un jalon avec T-Free, un modèle qui n’utilise plus de tokenisation classique mais des Hierarchical Autoregressive Transformers (HAT).
Sans découpage préalable du texte, le réseau apprend les morphologies et alphabets à la volée, ce qui élimine les biais vers l’anglais et réduit de 70 % le coût de fine-tuning pour les langues à faibles ressources. Source : ALEPH ALPHA.
Pour soutenir ce changement de paradigme, Aleph Alpha a signé avec AMD et Schwarz Digits.
Des clusters MI300A haute densité fournissent la bande passante mémoire nécessaire au pré-training HAT, tout en restant sur sol européen :
Les données sensibles ne quittent pas le continent.
Le 26 mai 2025, Aleph Alpha et STACKIT ont officialisé PhariaAI-as-a-Service :
Une offre SaaS déployée dans les datacentres du groupe Schwarz, certifiés C5 et ISO 27001.
Objectif : offrir aux entreprises et administrations une alternative RGPD-native aux hyperscalers américains. Sources : ALEPH ALPHA, heise online.
Traduction simultanée des formulaires administratifs, génération de réponses citoyennes multilingues et classification des requêtes.
Les gains : instantanéité et neutralité politique.
Analyse de contrats en grec ou croate, détection de clauses à risque et génération de résumés conformes à Bâle III. T-Free réduit les erreurs dues aux tokens hors vocabulaire.
Support technique multilingue embarqué sur edge gateways. Les MI300 du cloud STACKIT servent de centre d’inférence, tandis que des modèles distillés tournent sur site pour la continuité offline.
Aleph Alpha reste fidèle à sa réputation de « champion européen explicable ».
Sous PhariaAI, chaque appel modèle peut retourner une trace attentionnelle et un arbre décisionnel simplifié.
Cette transparence est clé pour les futures exigences de l’AI Act :
Documentation des risques, annotation des datasets et logs signés.
Entre l’innovation radicale de T-Free et le lancement de PhariaAI-as-a-Service, Aleph Alpha prouve qu’il est possible de concilier performance, souveraineté et explicabilité.
Pour les organisations européennes qui refusaient de choisir entre la puissance des LLM US et le respect du RGPD, l’alternative existe désormais.
Reste à chaque DSI de cartographier ses données, de tester T-Free sur ses langues « long tail » et de décider si, en 2025, la souveraineté ne vaut pas quelques jours de POC.
Les paris sont ouverts.