"Il ne faut pas donner aux circonstances le pouvoir d'éveiller la colère, car elles s'en moquent complètement." - Marc Aurèle.
Ce n'est peut-être pas très stimulant, mais c'est lié à un point important pour les stoïciens en herbe : les circonstances ne changent pas en fonction de la colère qu'on leur manifeste car les circonstances ne sont pas des personnes.
Vos sentiments sont des choix : Vous choisissez la colère plutôt que le calme ; vous choisissez la peur plutôt que le courage ; vous choisissez la misère plutôt que la joie.
Arrêtez de perdre votre temps (ou votre souffle) à vous mettre en colère contre des choses qui sont totalement indifférentes à vos sentiments. Arrêtez de penser que le fait de vous énerver contre des objets, des situations ou des entités inanimées va changer quoi que ce soit.
C'est comme le proverbe sur le fait de prendre du poison et s'attendre à ce que l'autre personne meure.
Concentrez-vous sur ce que vous pouvez changer, sur ce que vous pouvez faire - et non sur la réaction que vous avez face à quelque chose.