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Or


Ferme les yeux.
Écoute. Ressens. Laisse-toi traverser.
Dans cet épisode de Voyage sans passeport, tu es propulsé en Inde, mais pas celle des cartes postales. Non. Celle qui gronde, qui vibre, qui bouscule. Celle qui réveille chaque recoin de ton être.
Tout commence à Varanasi, la ville sacrée, où la vie et la mort dansent ensemble sur les ghats du Gange. Un mantra s’élève. Des corps s’éveillent pendant que d’autres s’éteignent. Le bois brûle, les fleurs flottent, les âmes passent. C’est intense. Parfois dur. Mais étrangement paisible.
Ici, rien ne s’oppose. Tout coexiste. Tout se mêle.
Puis, porté par l’intuition, tu t’envoles vers le sud, au cœur d’un ashram perdu dans la végétation. Le rythme ralentit. Chaque souffle devient une prière. Un moine te sert un chai brûlant et te pose la seule question qui compte vraiment :
“Tu cherches quoi ?”
Tu ne sais pas. Mais ton cœur répond à ta place.
Plus tard, direction l’ouest, sur les terres brûlées du Rajasthan. Le désert. Les femmes en saris colorés. Les chants puissants à Durga.
Tu sens la terre qui palpite sous tes pieds. Et en toi, une force qui s’éveille. Ta force.
Et comme un appel venu d’ailleurs, tu prends de l’altitude. Vers le nord, là où les Himalayas te tendent les bras. À Dharamsala, les moulins à prières tournent, les moines sourient sans rien dire — mais tout est dit.
Tu ne comprends pas tout.
Mais tu ressens. Et c’est largement suffisant.
Enfin, retour dans la foule de Pune, sa ferveur, sa transe, ses tambours. Tu ne sais plus qui tu es. Et peut-être que c’est justement ça, le cadeau de l’Inde.
Elle t’a dépouillé pour mieux t’emplir.
De sons. D’odeurs. De vérités.
Et quand tout s’arrête, tu comprends.
Ce n’est pas toi qui as traversé l’Inde.
C’est l’Inde qui t’a traversé.
Tu portes désormais en toi le chant des mantras, l’odeur du santal, la vibration d’un monde plus vaste.
Et tu sais…
Pas besoin de passeport pour toucher l’essentiel.
By AstellowFerme les yeux.
Écoute. Ressens. Laisse-toi traverser.
Dans cet épisode de Voyage sans passeport, tu es propulsé en Inde, mais pas celle des cartes postales. Non. Celle qui gronde, qui vibre, qui bouscule. Celle qui réveille chaque recoin de ton être.
Tout commence à Varanasi, la ville sacrée, où la vie et la mort dansent ensemble sur les ghats du Gange. Un mantra s’élève. Des corps s’éveillent pendant que d’autres s’éteignent. Le bois brûle, les fleurs flottent, les âmes passent. C’est intense. Parfois dur. Mais étrangement paisible.
Ici, rien ne s’oppose. Tout coexiste. Tout se mêle.
Puis, porté par l’intuition, tu t’envoles vers le sud, au cœur d’un ashram perdu dans la végétation. Le rythme ralentit. Chaque souffle devient une prière. Un moine te sert un chai brûlant et te pose la seule question qui compte vraiment :
“Tu cherches quoi ?”
Tu ne sais pas. Mais ton cœur répond à ta place.
Plus tard, direction l’ouest, sur les terres brûlées du Rajasthan. Le désert. Les femmes en saris colorés. Les chants puissants à Durga.
Tu sens la terre qui palpite sous tes pieds. Et en toi, une force qui s’éveille. Ta force.
Et comme un appel venu d’ailleurs, tu prends de l’altitude. Vers le nord, là où les Himalayas te tendent les bras. À Dharamsala, les moulins à prières tournent, les moines sourient sans rien dire — mais tout est dit.
Tu ne comprends pas tout.
Mais tu ressens. Et c’est largement suffisant.
Enfin, retour dans la foule de Pune, sa ferveur, sa transe, ses tambours. Tu ne sais plus qui tu es. Et peut-être que c’est justement ça, le cadeau de l’Inde.
Elle t’a dépouillé pour mieux t’emplir.
De sons. D’odeurs. De vérités.
Et quand tout s’arrête, tu comprends.
Ce n’est pas toi qui as traversé l’Inde.
C’est l’Inde qui t’a traversé.
Tu portes désormais en toi le chant des mantras, l’odeur du santal, la vibration d’un monde plus vaste.
Et tu sais…
Pas besoin de passeport pour toucher l’essentiel.