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Or
« Mémoires Vives » émission de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah. Préparée par Rachel Rimmer et présentée par Stéphane Bou qui reçoivent Ludovic Cantais, réalisateur pour la sortie du documentaire le 13 novembre « J'aimerais qu’il reste quelque chose »
Au cinéma le mercredi 13 novembre 2019
Au Mémorial de la Shoah, à Paris, une équipe de bénévoles recueille chaque semaine les archives personnelles des déportés et de leurs familles.
Pour ceux qui les donnent comme pour ceux qui les reçoivent, lettres, photographies et objets racontent l’horreur de la séparation, de l’attente et de la perte.
Mais au fil des entretiens, au détour d’une histoire, s’affirme l’indélébile présence des absents.
Filmer ces moments fragiles et fugaces, quand l’intime entre dans l’institutionnel et le collectif.
Cependant, une question demeurait : comment filmer la Shoah aujourd’hui dans les années 2010 en essayant de trouver un nouveau point de vue ? Je tenais mon sujet.
Ce film serait sur la transmission de la mémoire et comment ça se passe. Filmer ceux qui donnent, mais aussi ceux qui reçoivent. Ceux qui parlent et ceux qui écoutent.
Filmer ce qui ne l’avait jamais été a priori, à savoir le collectage d’archives, leur indexation, penser, classer, trier comme dirait Perec.
Ludovic Cantais
Toujours placée à la bonne distance, la caméra de Ludovic Cantais filme avec tact et douceur le travail patient des archivistes mais aussi la vertigineuse persistance de la mémoire.
Documentaire, France, 2018, 79 min, La Luna productions et Maje productions, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
Sortie en salles le mercredi 13 novembre 2019
« Mémoires Vives » émission de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah. Préparée par Rachel Rimmer et présentée par Stéphane Bou qui reçoivent Ludovic Cantais, réalisateur pour la sortie du documentaire le 13 novembre « J'aimerais qu’il reste quelque chose »
Au cinéma le mercredi 13 novembre 2019
Au Mémorial de la Shoah, à Paris, une équipe de bénévoles recueille chaque semaine les archives personnelles des déportés et de leurs familles.
Pour ceux qui les donnent comme pour ceux qui les reçoivent, lettres, photographies et objets racontent l’horreur de la séparation, de l’attente et de la perte.
Mais au fil des entretiens, au détour d’une histoire, s’affirme l’indélébile présence des absents.
Filmer ces moments fragiles et fugaces, quand l’intime entre dans l’institutionnel et le collectif.
Cependant, une question demeurait : comment filmer la Shoah aujourd’hui dans les années 2010 en essayant de trouver un nouveau point de vue ? Je tenais mon sujet.
Ce film serait sur la transmission de la mémoire et comment ça se passe. Filmer ceux qui donnent, mais aussi ceux qui reçoivent. Ceux qui parlent et ceux qui écoutent.
Filmer ce qui ne l’avait jamais été a priori, à savoir le collectage d’archives, leur indexation, penser, classer, trier comme dirait Perec.
Ludovic Cantais
Toujours placée à la bonne distance, la caméra de Ludovic Cantais filme avec tact et douceur le travail patient des archivistes mais aussi la vertigineuse persistance de la mémoire.
Documentaire, France, 2018, 79 min, La Luna productions et Maje productions, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
Sortie en salles le mercredi 13 novembre 2019