Parce qu’elle était artiste, on l’a jugée.
Parce qu’elle était libre, on l’a rendue coupable.
Mais cette Guadeloupéenne a refusé d’être une victime.
Aujourd’hui, elle prend la parole non pas pour raconter le drame, mais pour affirmer qu’aucune femme ne devrait être réduite à l’image qu’on projette sur elle.