Joseph, marin au 19ème siècle

Mon PACE a vocation à prendre la forme d&#39;un podcast. Ce dernier est le récit d&#39;une histoire familiale que je découvre et fait découvrir au fil de ce travail. J&#39;essaye d&#39;y apporter des précisions historiques pour contextualiser les faits. C&#39;est aussi un récit qui m&#39;est cher car il aborde une thématique que j&#39;affectionne particulièrement : le voyage. J&#39;essaye donc de développer sur ce terrain également.  Les raisons du choix du format podcast sont multiples. En premier lieu, le récit du manuscrit étant à la première personne, le podcast permet de donner vie aux paroles de mon arrière arrière grand-père. Sur ce point, j&#39;ai d&#39;ailleurs décidé de séparer les pistes audio pour le podcast de la manière suivante : je me chargerai de lire le texte de mon PACE en tant que protagoniste découvrant le récit et d&#39;un autre côté, mon petit frère et mon père incarneront les voix de Joseph, mon aïeul, selon son âge au travers du récit (mon frère donnera sa voix à Joseph jeune et mon père prendra ensuite la relève). De cette façon, cela peut, je pense, rendre l&#39;écoute encore plus immersive comme si l&#39;on suivait en quelque sorte le fil de la vie de Joseph. D&#39;un autre côté, le manuscrit en question étant un objet unique et privé, personne ne peut réellement y avoir accès outre que par ma propre retranscription de son contenu. Dès lors, le podcast permet d&#39;introduire plus facilement des bribes du récit au travers de citations conséquentes, du moins plus qu&#39;elles pourraient l&#39;être dans un récit écrit, et plus digestes à recevoir par audio.Enfin, le podcast permet de faciliter la reconstitution historique, et j&#39;insiste sur le terme reconstitution dans la mesure où tous les dispositifs d&#39;immersion audio qui seront utilisé (musiques, bruitages,…) sont seulement des éléments suggestifs d&#39;un passé et non sa véritable nature. La musique ainsi que les bruitages et même les blancs permettent de faire vivre le discours autrement et, dans le cadre d&#39;un travail s&#39;inscrivant dans une dimension historique ou de micro-histoire comme il en est question ici, ces derniers permettent de retranscrire une certaine atmosphère, ambiance, d&#39;une époque, d&#39;une région, d&#39;un lieu, d&#39;un métier précis. Pour finir, ce choix du podcast a été fortement motivé par mon affection personnelle pour ce format. Je consomme en effet depuis longtemps des podcasts de ce type, dans le genre &#34;témoignage&#34; / &#34;histoires personnelles&#34;, comme pourraient l&#39;être sur France Culture ou sur la plate-forme de podcast Slate. C&#39;est donc de ces différentes sources que s&#39;inspire mon travail.

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Mon PACE a vocation à prendre la forme d'un podcast. Ce dernier est le récit d'une histoire familiale que je découvre et fait découvrir au fil de ce travail. J'essaye d'y apporter des précisions historiques pour contextualiser les faits. C'est aussi un récit qui m'est cher car il aborde une thématique que j'affectionne particulièrement : le voyage. J'essaye donc de développer sur ce terrain également. Les raisons du choix du format podcast sont multiples. En premier lieu, le récit du manuscrit étant à la première personne, le podcast permet de donner vie aux paroles de mon arrière arrière grand-père. Sur ce point, j'ai d'ailleurs décidé de séparer les pistes audio pour le podcast de la manière suivante : je me chargerai de lire le texte de mon PACE en tant que protagoniste découvrant le récit et d'un autre côté, mon petit frère et mon père incarneront les voix de Joseph, mon aïeul, selon son âge au travers du récit (mon frère donnera sa voix à Joseph jeune et mon père prendra ensuite la relève). De cette façon, cela peut, je pense, rendre l'écoute encore plus immersive comme si l'on suivait en quelque sorte le fil de la vie de Joseph. D'un autre côté, le manuscrit en question étant un objet unique et privé, personne ne peut réellement y avoir accès outre que par ma propre retranscription de son contenu. Dès lors, le podcast permet d'introduire plus facilement des bribes du récit au travers de citations conséquentes, du moins plus qu'elles pourraient l'être dans un récit écrit, et plus digestes à recevoir par audio. Enfin, le podcast permet de faciliter la reconstitution historique, et j'insiste sur le terme reconstitution dans la mesure où tous les dispositifs d'immersion audio qui seront utilisé (musiques, bruitages,…) sont seulement des éléments suggestifs d'un passé et non sa véritable nature. La musique ainsi que les bruitages et même les blancs permettent de faire vivre le discours autrement et, dans le cadre d'un travail s'inscrivant dans une dimension historique ou de micro-histoire comme il en est question ici, ces derniers permettent de retranscrire une certaine atmosphère, ambiance, d'une époque, d'une région, d'un lieu, d'un métier précis. Pour finir, ce choix du podcast a été fortement motivé par mon affection personnelle pour ce format. Je consomme en effet depuis longtemps des podcasts de ce type, dans le genre "témoignage" / "histoires personnelles", comme pourraient l'être sur France Culture ou sur la plate-forme de podcast Slate. C'est donc de ces différentes sources que s'inspire mon travail.

Mon PACE a vocation à prendre la forme d'un podcast. Ce dernier est le récit d'une histoire familiale que je découvre et fait découvrir au fil de ce travail. J'essaye d'y apporter des précisions historiques pour contextualiser les faits. C'est aussi un récit qui m'est cher car il aborde une thématique que j'affectionne particulièrement : le voyage. J'essaye donc de développer sur ce terrain également.&nbsp; Les raisons du choix du format podcast sont multiples.&nbsp;En premier lieu, le récit du manuscrit étant à la première personne, le podcast permet de donner vie aux paroles de mon arrière arrière grand-père. Sur ce point, j'ai d'ailleurs décidé de séparer les pistes audio pour le podcast de la manière suivante : je me chargerai de lire le texte de mon PACE en tant que protagoniste découvrant le récit et d'un autre côté, mon petit frère et mon père incarneront les voix de Joseph, mon aïeul, selon son âge au travers du récit (mon frère donnera sa voix à Joseph jeune et mon père prendra ensuite la relève). De cette façon, cela peut, je pense, rendre l'écoute encore plus immersive comme si l'on suivait en quelque sorte le fil de la vie de Joseph.&nbsp;D'un autre côté, le manuscrit en question étant un objet unique et privé, personne ne peut réellement y avoir accès outre que par ma propre retranscription de son contenu. Dès lors, le podcast permet d'introduire plus facilement des bribes du récit au travers de citations conséquentes, du moins plus qu'elles pourraient l'être dans un récit écrit, et plus digestes à recevoir par audio.Enfin, le podcast permet de faciliter la reconstitution historique, et j'insiste sur le terme reconstitution dans la mesure où tous les dispositifs d'immersion audio qui seront utilisé (musiques, bruitages,…) sont seulement des éléments suggestifs d'un passé et non sa véritable nature. La musique ainsi que les bruitages et même les blancs permettent de faire vivre le discours autrement et, dans le cadre d'un travail s'inscrivant dans une dimension historique ou de micro-histoire comme il en est question ici, ces derniers permettent de retranscrire une certaine atmosphère, ambiance, d'une époque, d'une région, d'un lieu, d'un métier précis. Pour finir, ce choix du podcast a été fortement motivé par mon affection personnelle pour ce format. Je consomme en effet depuis longtemps des podcasts de ce type, dans le genre "témoignage" / "histoires personnelles", comme pourraient l'être&nbsp;sur France Culture ou&nbsp;sur la plate-forme de podcast Slate. C'est donc de ces différentes sources que s'inspire mon travail.

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