Dans cet épisode, Johann Roques ouvre la libre antenne en s'intéressant à l'intelligence artificielle et en saluant les auditeurs tout en annonçant le lancement de son site johannroques.fr. Il accueille Sébastien, qui partage son expérience du syndrome de Diogène, sa séparation, et son parcours professionnel marqué par une intuition entrepreneuriale. Sébastien aborde aussi ses problèmes d'alcool et leurs répercussions sur sa vie professionnelle et personnelle. Il raconte son combat de cinq ans contre le syndrome de Diogène, la valeur émotionnelle qu'il attribue aux objets, et ses relations amoureuses malgré ses difficultés. Le confinement devient un tournant dans sa vie, amenant des réflexions sur ses conditions de vie et la réaction du corps médical.
(0:00) Introduction de la libre antenne avec Johann Roques
(1:26) Johann s'intéresse à l'intelligence artificielle
(4:11) Salutations aux auditeurs et annonce du site johannroques.fr
(4:48) Sébastien se confie sur son syndrome de Diogène
(14:05) Sébastien raconte sa séparation et son parcours professionnel
(30:01) Sébastien et son intuition entrepreneuriale
(32:28) Discussion sur l'alcool dans la vie de Sébastien
(35:20) Les conséquences de l'alcool sur la vie professionnelle de Sébastien
(37:11) Les problèmes de Sébastien avec l'alcool et la conduite
(41:12) Le syndrome de Diogène s'invite dans la vie de Sébastien
(45:46) Sébastien et le syndrome de Diogène : un combat de 5 ans
(46:04) Sébastien vend son affaire et fait face à de nouveaux défis
(52:37) Sébastien et le refus de la subordination professionnelle
(54:32) Johann s'intéresse à la vie sentimentale de Sébastien
(55:26) Sébastien explique le début de son syndrome de Diogène
(1:00:38) Sébastien et la valeur émotionnelle des objets
(1:07:21) Sébastien discute de ses relations amoureuses malgré le syndrome
(1:08:42) L'accumulation de déchets chez Sébastien
(1:11:24) Sébastien compare son blocage à des troubles obsessionnels compulsifs
(1:14:10) Réaction du corps médical aux conditions de vie de Sébastien
(1:14:56) Sébastien et le confinement : un tournant